La Philharmonie des Deux Mondes présente Entendre Verdun (sept-oct 2016)

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LES CONCERTS DE SEPTEMBRE ET OCTOBRE 2016

Le Croisic – Pornichet – Paris

En ouverture de sa 4ème saison, et dans le cadre des commémorations officielles de la Mission Nationale du Centenaire 14-18 et de la Mission 14-18 du Département de la Loire Atlantique, la Philharmonie des Deux Mondes dirigée par le Chef d’Orchestre Philippe Hui, commémore le Centenaire de la bataille de Verdun (Février 1916 – décembre 2016) avec « ENTENDRE VERDUN », un programme composé de deux œuvres très différentes mais si proches dans leur façon de décrire l’horreur de cette guerre :

 

 

Philharmonie VERDUN 2016

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« ENTENDRE VERDUN » 1916-2016

1ère partie

LE CHEMIN DES DAMES

Récital Café-concert de et avec Pierre Méchanick

et avec Erika Guiomar ou Sylvie Lechevalier (pianistes)

2ème partie

L’HOMME QUI TITUBAIT DANS LA GUERRE

ORATORIO D’ISABELLE ABOULKER

Conception du livret : Arielle Augry

Blandine Folio Peres : Mezzo Soprano

Vincent Billier : Baryton

Pierre Méchanick : Récitant

Et avec :

Le chœur des enfants du Conservatoire de Cap Atlantique et les classes CHAM du Collège Jacques Brel de Guérande dirigés par Delphine Hautcoeur

Visuel affiche« Présenter au cours de la même soirée « Le Chemin des Dames », un récital café-concert 1900 et « L’homme qui titubait dans la guerre », un oratorio contemporain, relève d’une gageure peu commune.

C’est pourtant le parti pris d’Entendre Verdun, un diptyque qui entend commémorer Verdun, la bataille défensive par excellence, par un hommage pudique et solennel à une humanité perdue. Plusieurs raisons à cela : les deux oeuvres dialoguent par leur thème bien sûr. Si « Le Chemin des Dames » évoque l’avant-guerre et la vie de caserne, « L’Homme qui titubait dans la guerre », met en scène symboliquement un ultime assaut le jour même de l’armistice du 11 novembre 1918. Dans les deux opus, le même constat, celui d’un voyage lent au fond de l’absurde.

Entendre Verdun met aussi en équation deux formes de littérature du témoignage. L’itinéraire sentimental et désoeuvré, bébête et grivois du pioupiou encaserné de la première partie s’insère naturellement dans la marquèterie, à la fois savante et sans apprêt du livret d’Arielle Augry. L’oratorio, véritable journal d’empreintes, où se croisent les grands poètes, Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, Jean Cocteau, Romain Rolland, achève de cartographier l’univers hétéroclite de cette mobilisation devenue guerre de position.

Quant à la musique, on ne saura jamais assez ce qu’on doit à Isabelle Aboulker. Sa partition est constituée de vingt deux pièces brèves. Partout elle masque, dévoile, se charge d’intentions bienveillantes ou implacables pour transformer en tableaux, la vie de tranchée, l’arrière, l’hôpital, l’ennui, la mort. Elle ponctue grâce à un chœur d’enfants trilingues, l’énorme dévitalisation de tous ces hommes transis, pétris de désespoir et de souvenirs. Elle introduit un surplus de sens dans la voix de la femme, de la mère et de l’enfant. Elle agrandit de façon presque hallucinatoire un triomphalisme et un patriotisme d’Epinal pour mieux incarner la désillusion et la dédicace finale aux disparus.

dessin deux sodatsDans un style qui redonne au comique troupier ses lettres de noblesse, Pierre Méchanick se glisse derrière des rythmes et des mélodies qui aboutissent à un comique musical voulu. Marches, valses, polkas, se chantent « allegretto » pour mieux épouser la prosodie très syllabique du texte. Ce répertoire de la « Belle Epoque » est pour autant inscrit dans la mémoire immédiate des combattants. Les Poilus poussaient la chansonnette assurément, mais il était aussi de leur pouvoir de faire chanter les ruines.

A chacun qui veut bien commémorer Verdun, nous disons que la culture du passé doit se conjuguer au présent. Nous sommes dans cet entre-deux d’un monde qui s’achève et d’un monde qui n’a pas encore dit son sens. Il paraît que ceci est propre à chaque début de siècle, le nôtre comme le précédent. La Philharmonie des Deux Mondes, dirigée par Philippe Hui porte promesse d’une culture vivante et partagée, et, souhaite, pour ce centenaire, être autant célébrante qu’iconoclaste. A nous de lui rester fidèle.

PM

 « ENTENDRE VERDUN – 1916 – 2016 »

1ère partie

Photo Pierre Crédit Laurent Lèvy 3LE CHEMIN DES DAMES

Récital Café-concert de et avec Pierre Méchanick

et avec Erika Guiomar ou Sylvie Lechevalier (piano)

L’histoire sentimentale et désoeuvrée d’un pioupiou de la grande guerre au travers des chansons grivoises et humoristiques de l’époque. Imaginez un jeune Français, un conscrit, un bleu. Au sortir du conseil de révision, il a été triplement reconnu « bon pour le service », « bon pour les femmes », « bon pour la vie ». Nous sommes quelques années avant la guerre de 14, l’une des plus dures, à tout jamais que le monde ait connue. Déraciné, éloigné des êtres aimés, il est happé par cet environnement très masculin qu’est la caserne.

Pierre Mechanick _ crÈdit Laurent LÈvy (2)Il raconte, il chante l’apprentissage militaire, la chambrée, les copains, les femmes, l’ennui. Cela compense le son moins harmonieux des canons, ou plus désagréable, de la pluie qui finit par transformer en marécage de boue le cantonnement. Faisant preuve d’un héroïsme de carton pâte, drôle mais inutile, il présage du conflit à venir et se tient prêt à défendre la patrie.

Mais là où le rire et la tendresse pouvaient relever le moral des troupes, surviennent quelques temps plus tard, le chagrin et la colère, qui, au moment de l’offensive du « Chemin des Dames » en avril 1917, substitueront aux paroles insouciantes de la Madelon, la terrible chanson de Craonne, composée par les Poilus dans les tranchées : « Adieu la vie, adieu l’amour, adieu toutes les femmes… »

Imaginez et écoutez un siècle plus tard ces chansons aux rythmes entraînants, aux mélodies volubiles et parfois solennelles qui parlent des soldats et de la guerre : c’est la musique au fusil !

Extraits de presse

« Il y a plus d’un chanteur, aujourd’hui, qui rêverait d’en faire autant » FRANCE 2

« Le chanteur et comédien Pierre Méchanick ressuscite le répertoire oublié des comiques troupiers du début du XXème siècle » LE FIGARO

« Avec des mimiques désarmantes, le bonhomme raconte en chantant le bonheur d’être pioupiou » L’EXPRESS

« C’est du comique troupier façon 14-18 tel que Fernandel l’a fait revivre le temps de quelques films » LIBERATION

« Pierre Méchanick est le dernier à faire vivre ce répertoire…On rit avec franchise à ce spectacle brillant « OPERETTE

2ème partie

L’HOMME QUI TITUBAIT DANS LA GUERRE

ORATORIO D’ISABELLE ABOULKER

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 Commande d’Etat de 1998, cet oratorio contemporain d’Isabelle Aboulker conçu comme un plaidoyer pour la Paix, relate l’un des derniers combats sur le front le jour même de la déclaration de l’armistice du 11 novembre 1918. C’est l’histoire touchante et déchirante des derniers instants d’un soldat, en proie à ses souvenirs et ses pensées lors de ce dernier assaut. Au travers du récit de ce soldat imaginaire, ce sont les voix de dix millions de morts qui s’élèvent.

Arielle Augry a conçu le livret à partir de textes et de poèmes de personnalités ayant connu cette effroyable guerre tels que Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, Henri Barbusse, jean Cocteau, Romain Rolland ou encore Ernst Jünger.

L’Oratorio est interprété par l’Orchestre Symphonique, « La Philharmonie des Deux Mondes » dirigé par Philippe Hui, avec trois solistes : Blandine Folio Peres, Mezzo Soprano, interprétant Lou, la femme du soldat, Vincent Billier, Baryton, représentant les soldats de toutes nationalités et Pierre Méchanick, que nous retrouvons comme Récitant, représentant la conscience du soldat Français.

Les 40 enfants du Chœur du Conservatoire de Cap Atlantique et les élèves des Classes CHAM (Classes à Horaires Aménagées Musiques) du Collège Jacques Brel de Guérande dirigés par leur chef Delphine Hautcoeur représentent toutes les victimes de ce conflit, quelles que soient leur nationalité et chantent aussi bien en Français, qu’en Anglais ou en Allemand.

 A noter aussi sur vos agenda de septembre 2016:

Concert-promenade Samedi 24 septembre 2016

En préambule des Concerts en salle, et désormais fidèle à son habitude, la Philharmonie au grand complet se rend à la rencontre des habitants au cœur des HLM dans les quartiers de Saint-Nazaire

Concert promenade dans les quartiers de Saint-Nazaire (mai 2016)

Concert promenade dans les quartiers de Saint-Nazaire (mai 2016)

Le prochain « Concert-promenade » aura lieu à Saint-Nazaire le samedi 24 septembre 2016 à 15h dans le quartier de Kerlédé et à 16h30 dans le quartier d’Avalix avec au programme des extraits de la Symphonie N°29 de Mozart et de la Symphonie N°44 de Haydn, en partenariat avec Silène, la Fédération des Maisons de Quartiers et les Maisons de Quartiers de Kerlédé et d’Avalix.

« La musique classique n’est pas l’apanage d’une élite initiée, elle est le patrimoine de tous et toutes. Une certitude pour le chef d’orchestre Philippe Hui et les 40 musiciens de la Philharmonie des Deux-mondes, qui, installés aux pieds des immeubles du quartier prioritaire de La Galicherais, à Saint-Nazaire (44), ont joué la 2e symphonie de Beethoven, le 28 mai dernier.

Jouer de la « grande musique » aux pieds des immeubles ? Cette initiative n’est pas sans rappeler celles menées par « Les Concerts de poche ». Cette association, lauréate du chantier présidentiel « La France s’engage », donne aux habitants des quartiers de la politique de la ville et des zones rurales l’opportunité de découvrir et de s’adonner à la pratique de la musique ou du théâtre musical »

 Site du Secrétariat Général à l’Egalité des Territoires /1er Ministre.

À écouter sur France Culture, l’orchestre symphonique dirigé par Philippe Hui à Saint-Nazaire :http://www.franceculture.fr/emissions/sur-la-route/sur-la-route-d-une-cite-en-re-majeur

LES ARTISTES

Philippe Hui - photo Laura Dyens

Philippe Hui – photo Laura Dyens

Philippe Hui, Chef d’orchestre

Philippe Hui est un chef d’orchestre éclectique qui dirige aussi bien le concert symphonique, que le Ballet, l’Opéra ou l’Opérette.

Après avoir été l’assistant de James Conlon, il a régulièrement dirigé l’Orchestre National de l’Opéra de Paris dans de nombreux opéras et ballets : Orphée et Eurydice (Chorégraphie de Pina Bausch), Le Barbier de Séville, Paquita, Idoménée, la Sylphide….

Artiste international, il a été invité par de nombreuses autres scènes et festivals en France (Opéra de Tours, Metz, Reims, Limoges, Avignon, Théâtre des Champs Elysées…) et à l’étranger (Opéra de Novossibirsk, Festival de Nuremberg, de Baalbeck…). Il y dirige des ouvrages variés : Le Sacre du Printemps, La Veuve Joyeuse, Casse Noisette, Carmen…à la tête de formations telles que l’Orchestre National de Lorraine, de Bretagne, l’Orchestre Pasdeloup ou encore d’ensembles de jeunes musiciens comme l’Orchestre Ostinato ou l’Orchestre Régional des Jeunes de Haute-Normandie.

Il a assuré pendant plusieurs années la direction musicale du Festival Opéra en Plein-air et la direction artistique de l’Atelier Lyrique de Haute-Normandie. Il est aujourd’hui le Directeur musical de la Philharmonie des Deux Mondes, orchestre symphonique en Loire Atlantique, tout en menant une carrière de Chef d’Orchestre auprès de Festivals (Festival Offenbach d’Etretat….) et de nombreux orchestres en France et à l’étranger comme dernièrement l’Orchestre de l’Opéra de Limoges et du Limousin, et l’Orchestre de l’Opéra national de Kiev en Ukraine.

La Philharmonie des Deux Mondes

La Philharmonie des Deux Mondes - Photo Laura Dyens

La Philharmonie des Deux Mondes – Photo Laura Dyens

La Philharmonie des Deux Mondes a été créée en septembre 2013 par le Chef d’Orchestre Nazairien Philippe Hui. Cette jeune formation est un orchestre citoyen composée d’une quarantaine de musiciens de Loire-Atlantique, et qui a pour ambition de faire découvrir les œuvres des grands compositeurs classiques ou contemporains au plus grand nombre, et notamment à ceux qui pensent que « la musique classique n’est pas faite pour eux ».

C’est ainsi que depuis 3 ans, ce chef infatigable emmène son orchestre à la rencontre de nouveaux publics aussi bien dans de grandes salles de concert (Salle Gaveau à Paris, Théâtre de Saint-Nazaire, Centre des Congrès d’Angers), que dans des gymnases ou des salles polyvalentes (au Croisic, à Pornichet, à Saint-Nazaire), des lieux patrimoniaux (Château de Clisson), des maisons de retraite, au sein d’entreprises (comme l’entreprise de maçonnerie Sadac) ou encore en plein-air au pied des HLM de Saint-Nazaire, en partenariat avec les associations sociales des quartiers. La Philharmonie des Deux Mondes ose même frayer avec des musiciens rock avec qui elle a créé « Alkeemia », un concert classico-celtico-rock qui fut le coup de cœur du Festival Yaouank de Rennes en novembre 2015.

La Philharmonie des Deux Mondes mène également un travail d’actions culturelles auprès des enfants des écoles, des élèves des conservatoires de musiques ou des personnes âgées lors de conférences, répétitions musicales avec les musiciens de l’orchestre, première partie de concerts ou participation à la générale publique des concerts pendant laquelle le chef leur présente les instruments de l’orchestre et les œuvres jouées.

Depuis sa création, la Philharmonie des Deux Mondes a déjà sensibilisé plus de 15.700 spectateurs lors des 26 concerts proposés dans différentes villes de Loire Atlantique et au-delà.

 

Isabelle Aboulker, compositrice

Photo officielle isabelle_aboulkerAujourd’hui Internationalement reconnue pour ses talents de compositrice et de pédagogue, primée par l’Académie des Beaux Arts, la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques et la Chambre syndicale des Editeurs de Musique de France, Isabelle Aboulker naît en 1938 dans la concordance d’influences d’un grand-père compositeur, Henry Février, et d’un père cinéaste et écrivain, Marcel Aboulker. Parallèlement à des études d’écriture et d’accompagnement au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, elle compose pour le cinéma, le théâtre, la télévision. Accompagnatrice, chef de chant, puis professeur auprès des jeunes chanteurs au CNSM, c’est autour de la voix et de l’opéra que se concentre à partir de 1981 son activité créatrice. Le nom d’Isabelle Aboulker est également indissociable d’opéras pour enfants. Ses ouvrages  sont fréquemment travaillés par des Conservatoires et Ecoles de Musique, et figurent régulièrement dans la programmation Jeune Public de grandes scènes françaises ou étrangères.

L’homme qui titubait dans la guerre

On le sait, une partition d’Isabelle Aboulker s’impose d’emblée par sa clarté, son efficacité (dramatique et mélodique) pour tout dire par son intelligence du théâtre et de la voix.
L’Homme qui titubait dans la guerre en est une nouvelle preuve.
Dans un registre opératique qui ne lui est pas familier (l’évocation des horreurs de la Première Guerre Mondiale), le compositeur avec la savante conjugaison de sa librettiste, Arielle Augry, évite les pièges de la dramatisation excessive. Oratorio, presque prière, dans la pleine acception du terme. Au contraire, toute l’émotion naît s’une conception musicale juste, où chaque élément de l’ensemble (chœur d’enfants, masse orchestrale, solistes, récitants…) trouve sa voix propre pour nommer, avec une grande économie de moyens, la douleur, le silence, l’absence, tout aussi bien que la joie fragile de l’instant.

René Quinon – janvier 1999

Blandine Folio Peres, Mezzo-Soprano

Blandine Folio Peres. Photo Christine Ledroit Perrin

Blandine Folio Peres. Photo Christine Ledroit Perrin

Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Blandine Folio Peres se produit dans différents rôles du répertoire, tels Suzuki (Mme Butterfly), Emilia (Otello de Verdi), Nicklausse (Contes d’Hoffmann), Orphée (Orphée et Eurydice de Glück), la 3ème Dame (Flûte Enchantée), Annina (Traviata) … dans les Opéras de Rouen, Nancy, Lille, Reims, Metz, Limoges, Saint-Etienne, Tours, Dijon, ainsi qu’au Théâtre du Châtelet dans le rôle de Nakamti (Padamavati de Roussel) et à l’Opéra Comique à Paris dans Félicie (O mon bel inconnu de R.Hahn). Elle a incarné récemment la magicienne dans un opéra ballet du XVIIIème siècle au Palais des Arts de Budapest, ainsi que le Page et la Comtesse dans Rigoletto au Festival lyrique de Sanxay et elle chantera prochainement Mistress Bentson (Lakmé) à Munich.

Elle retrouve ici Philippe Hui qui l’a dirigée dans les Contes d’Hoffman dans le cadre d’Opéra en plein air et dans Carmen l’an dernier au Festival de Nègrepelisse.

Vincent Billier, Baryton – basse

PHOTO Vincent BillierTitulaire d’un 1er prix de chant au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Vincent Billier se consacre principalement à l’interprétation des grands rôles d’opéra : il est Belcor dans L’Elixir d’Amour de Donizetti, Le Hollandais Volant de Wagner, Bartolo dans le Barbier de Séville de Rossini ou encore Lopez dans L’Amant Jaloux de Grétry. Il chante dans de nombreux lieux prestigieux comme l’Opéra de Rennes, de Lorraine, de Metz et de Tours, à l’Opéra comique, l’Opéra Bastille et à l’Opéra Royal de Versailles…. Sollicité pour de nombreux rôles sur les scènes françaises et étrangères, il se produit également dans un répertoire de musique sacrée : oratorios et messes de Bach, Mozart, Fauré, Haydn et Mendelssohn ou de mélodies Françaises : Duparc, Ropartz et Poulenc qu’il chante à la Cité de la Musique à Paris.

Après avoir créé le rôle de Théophile Gauthier dans « M. de Balzac fait son théâtre » d’Isabelle Aboulker, il interprètera de nouveau une œuvre de cette compositrice dans l’oratorio « l’Homme qui titubait dans la guerre », sous la direction de Philippe Hui.

 

Pierre Mechanick, baryton et metteur en scène

Pierre Méchanick récitantAvant d’entrer au Conservatoire National Supérieur de Musique et de danse de Paris où il obtient en 1990 un Premier Prix d’Opérette, Pierre Méchanick s’est formé au théâtre avec Yves Pignot. Parallèlement à sa carrière d’artiste lyrique, il est également auteur et metteur en scène : «  La troisième ligne » joué à Bobino et dans l’émission « Bouvard du rire «  sur France 3, «  Nel Haroun cabaret oriental 1920 » au Divan du Monde, « Café Allais » à la Péniche Opéra. Il joue régulièrement au Festival Offenbach d’Etretat dans des opérettes mises en scène par Yves Coudray, sous la direction musicale de Philippe Hui.

Revendiquant haut et fort son engagement pour le genre disparu du « comique troupier », il crée « Le chemin des Dames », un récital qui rend hommage aux soldats de la Grande Guerre. Il a également écrit une anthologie de la chanson comique à la Belle Epoque (ed Pocket)

INFORMATIONS PRATIQUES

 Visuel affiche

 

 

LES CONCERTS DE SEPTEMBRE ET OCTOBRE 2016 DE LA PHILHARMONIE DES DEUX MONDES

Orchestre Symphonique en Loire Atlantique – Direction : Philippe Hui

 

Affichette 2concertpromenade 24 09 2016CONCERTS-PROMENADE en plein-air

 Samedi 24 septembre 2016 à Saint-Nazaire

Symphonie N°29 de Mozart et Symphonie N°44 de Haydn

A 15h : Quartier Kerlédé  – « Square du bout du monde » sur le belvédère face au 72-74 rue Ferdinand Buisson (devant la mer) – Renseignements : 02 40 53 50 00

A 16h30 : Quartier Avalix – Espaces Verts, 28 rue Berthelot – En cas de mauvais temps, le concert aura lieu dans la maison de Quartier au 3 rue Calmette – Rens : 02 40 53 50 00

Gratuit, entrée libre

Organisation : Silène, la Fédération des Maisons de Quartiers et les Maisons de Quartiers de Kerlédé et Avalix.

CONCERTS EN SALLES : « ENTENDRE VERDUN : 1916-2016 »

ASSERAC : 

Vendredi 23 septembre 2016 Séance pour les scolaires de « L’Homme qui titubait dans la guerre »

Programme complet de concert : « Le Chemin des Dames » suivi de « L’Homme qui titubait dans la guerre » dans les lieux ci-dessous :

 

Philharmonie Octobre LE CROISIC 2016GYMNASE Gabriel Gouraud – Avenue des Moulins – 44490 LE CROISIC

Dimanche 25 septembre 2016 à 17h

Tarifs: 15€ – 5€ (< 12 ans)

Billetterie : Office de Tourisme du Croisic – Renseignements : 06.67.04.95.44

 

 

QUAI DFlyer Quai des arts VERDUN versoES ARTS –  2 Avenue Camille Flammarion, 44380 PORNICHET

Mardi 11 octobre à 20h30

Tarif unique : 20€

Billetterie : lp2m@sfr.fr ou par tel : 06.75.50.63.03

Par internet : ICI

 

 

SALLE GAVEAU – 45-47 Rue La Boétie, 75008 PARIS – Métro Miromesnil (ligne 9 et 13)

Lundi 17 octobre à 20h30

Tarifs : 35€ (cat 1) – 25€ (cat 2)- 15€ (cat 3)

Billetterie ICI sur internet  

Carte-Bar 13-10-9

signature locoCONTACT:

La Locomotive des Arts, Laure Taar

Tel: 06.87.37.35.17 ou mail: lalocomotive5@orange.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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