Création sur la Symphonie fantastique de Berlioz – Flashville – Compagnie Lionel Hoche

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Samedi 16 Novembre 2013 (20H30)
Au Centre des Arts d’Enghien-les-bains
Vendredi 14 février 2014 (20H30)
Au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines
Philippe Hui remplacera Jean-Luc Tingaud à la direction de l’Orchestre OstinatO pour la création Flashville sur la symphonie fantastique de Berlioz, au Centre des Arts d’Enghien-les-bains.

L’orchestre Atelier Ostinato

Ensemble professionnel de haut niveau, l’Orchestre-Atelier Ostinato offre à ses jeunes musiciens la possibilité de se produire régulièrement en public dans un cadre professionnel, lors de concerts ou de productions lyriques en France et à l’étranger.

Les musiciens sont admis à l’Orchestre-Atelier Ostinato sur concours pour une durée de deux ans, et participent chaque année à une quinzaine de sessions artistiques. Les concerts, véritables « tremplins » pour les carrières de ces jeunes instrumentistes, sont dirigés soit par le Directeur artistique, Jean-Luc Tingaud, soit par des chefs d’orchestre invités d’envergure internationale (dernièrement Guillaume Tourniaire, Antony Hermus, Marius Stieghorst, Kaspar Zehnder ou Geoffroy Jourdain).

Plus d’informations sur leur site : ici

La Création

Flash amoureux traversé de spectres du passé et de visions du futur.

Pour cette seconde année de résidence au CDA, Lionel Hoche poursuit ses obsessions de « chorégraphe romantique » au goût prononcé pour l’imaginaire fantastique en revisitant un monument de la musique classique. Il s’empare d’une pièce singulière: la Symphonie Fantastique d’Hector Berlioz pour créer Flashville, une chorégraphie irradiée, peuplée de figures doubles et insaisissables. Autour d’un duo amoureux aux couleurs pop se dessine une ville abstraite et changeante, au sein de laquelle se déploie une nuée de danseurs « sans-face ». « Elle », la figure féminine de ce duo, est à l’image des héroïnes du cinéma de David Lynch : multiple et inquiétante. « Lui », dans une quête d’idéal amoureux, poursuit cette chimère, comme une idée fixe.
Dans une époque contemporaine dépourvue d’étrangeté, Lionel Hoche profite de la scène pour exprimer cette poésie du mystère et cette esthétique du bizarre qui lui sont chères.

«Flashville, c’est une faille dans le temps pour que s’épousent, en un éclair, deux mondes : le monde d’ici-bas et l’outremonde, le réel et son double, un homme et une femme, le XIXe et le XXIe siècle, la fosse d’orchestre et le plateau, la danse contemporaine et la musique romantique, le gris anthracite et l’orange fluo, le déjà-vu et le pas encore …» Lionel Hoche, avril 2013.

La compagnie Lionel Hoche est en résidence de création de trois ans au CDA.

Plus d’informations sur le site du CDA : ici

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