Ce soir au Jardin des Plantes, c’est la Grand-fête éblouissante : c’est …..Carnaval des Animaux !
L’orchestre, à pas de loup, Discrètement se place.
Les pianistes, les violonistes, les altistes, flutistes, clarinettiste, violoncellistes, contrebassistes et percussionnistes sont en piste.
Et voici que soudain, monte dans le silence, pour le plaisir de nos cinq sens, la musique du Maître Saint-Saëns. Derrière le chef d’orchestre, les Animaux font leur entrée ! Avec le lion, la crinière en arrière et la mine altière, les poules et les coqs bien de notre époque, les hiermiones -ce sont des chevaux qui ont leur place dans les carnavaux !
Puis des tortues qui dansent le cancan une fois l’an, des éléphants qui font tout ce qu’on leur défend, des kangourous qui mettent tout dans leur poche, même des poissons dans le fond. Coucous, cygnes, et nabuchodonosors nous offrent leurs trésors.
Enfin, c’est la fête, le loup danse avec l’agneau, le renard avec le corbeau, le tigre avec le chevreau. Comme c’est beau, le Carnaval des Animaux !!
Libre adaptation du texte de Francis Blanche, qui sera, pas d’inquiétude, conté dans son intégralité pendant le concert.
A la fin du concert, le chef d’orchestre présente les animaux, euhhh, les instruments !
Et la Fête se termine en chanson sur l’air de « Il en faut peu pour être heureux » repris par tous les enfants
La famille et les amis guitaristes de Roland Dyens sont heureux de vous annoncer la création en octobre 2018, de l’ Association à but non lucratif, ayant pour nom :
ROLAND DYENS IN THE SKAI
Cette association a pour objet : la préservation du Fonds musical de Roland Dyens, guitariste, compositeur-interprète, la collecte documentaire et le développement de son oeuvre musicale.
Plus précisément : La préservation: la numérisation et la conservation dans les règles de l’art et de sécurité, des manuscrits des compositions et arrangements de Roland Dyens, ayant pour finalité de les préserver de toute dégradation et les conserver durablement en bon état pour les générations futures. Un catalogue numérique du Fonds musical sera réalisé. La Collecte documentaire : la recherche et la collecte de tout type de documents (autres manuscrits, lettres, photos, vidéos, publications, articles de presse etc…) concernant la carrière musicale, l’oeuvre et la vie de l’artiste Le développement : l’édition et l’enregistrement de compositions et arrangements de Roland Dyens, notamment ses inédits, sur tous supports ; la vente de biens (disques, partitions, publications etc…), la prestation de services (conférences, master class etc..), la gestion de projets, l’organisation d’événements de tous types dont la création d’un “Prix Roland Dyens” et ce, en lien avec l’objet de l’Association.
Les membres du Conseil d’Administration :
Laura Dyens-Taar, la soeur de Roland Dyens (Présidente)
Jacques Misrahi(Vice-Président), guitariste. Il était l’agent de Roland Dyens pour la France
Françoise Pech(Trésorière), musicienne et chef de choeur
Valérie Folco(Secrétaire), guitariste. Elle était élève de Roland Dyens et guitariste de l’octuor Octopus qu’il avait créé.
Orestis Kalampalikis(Secrétaire Adjoint), guitariste. Il était élève de Roland Dyens au CNSM de Paris
Jean-Marc Zvellenreuther(administrateur), guitariste. Il était l’Assistant de Roland Dyens au CNSM
Jérémy Jouve (Administrateur), guitariste. Il était élève de Roland Dyens au CNSM de Paris
Larry J. Snitzler (Administrateur et conseiller), guitariste. Il était un ami de Roland Dyens et adoraient tous deux faire des jeux de mots en Anglais et Français.
Les membres de droit : Sa maman, Nina, et ses enfants : Emmanuel, Yael, Sydney, Daphné (représentée jusqu’à sa majorité par sa mère Henriette)
Pour inaugurer cette nouvelle association, nous organisons un concert en France, à une date très symbolique, puisque ce sera le 19 octobre 2018 prochain, jour de l’anniversaire de Roland Dyens
ELENA PAPANDREAOU
La guitariste ELENA PAPANDREOU nous fait la joie de venir de Thessalonique pour interpréter son programme de compositions et arrangements que Roland lui a dédiés comme » Triaela », « Lettre encore », « The postman » etc…
En 1ère partie, nous invitons Dmytro Holovenko et Martyna Ciesielska tout frais diplômés de l’Académie de musique de Cracovie en Pologne et Cassie Martin qui a été la Révélation 2017 du Concours international Roland Dyens organisé par le magazine Guitare Classique en 2017.
Métro Croix de Chavaux (ligne 9, sortie Place du Marché)
Le nombre de places étant limité, nous vous remercions de réserver vos places au plus tôt sur le nouveau mail de l’association : rolanddyens.skai@gmail.com
Participation aux Frais : 10 € Vous pouvez aussi faire un don à l’Association pour nous aider à réaliser nos projets (espèces ou chèque à l’ordre de : Association Roland Dyens in the skaï).Vous ferez ainsi partie des “Amis de l’Association Roland Dyens in the skaï “.
En août 2018, Mathieu Braud était chef invité avec son Ensemble Dénote, du Festival Offenbach d’Etretat pour la reprise de « Dragonette » et la création de « La permission de 10h » du Grand Jacques Offenbach, dans une mise en scène d’Yves Coudray.
Photos des répétitions :
Ensemble Dénote
Héloïse Hilbert (cor), William Thomas (violoncelle), Abel-Loup Boye (basson) et Camille Tribouillard (clarinette) avec Nina Uhari (piano) Direction : Mathieu Braud Adaptation musicale : Philippe Hui.
LA PERMISSION DE DIX HEURES
Opéra-comique en un acte(durée 55mn) Livret de Mélesville et Carmouche, adapté par Charles Nuitter. Musique de Jacques Offenbach Représenté pour la première fois à Paris, au théâtre de la Renaissance, le 4.09.1873.
La permission de dix heurespermet à Offenbach de retrouver l’atmosphère du 18ème siècle qu’il aime tant. L’ouvrage, d’abord présenté à Ems en 1867, fût créé à Paris en 1873, le même soir que Pomme d’Api, et par les mêmes interprètes. Sur un livret à première vue banal mais plein de rebondissements et de situations cocasses, Offenbach a écrit une de ces musiques raffinées qui lui valurent Ie surnom de « petit Mozart des Champs Elysées ».
L’HISTOIRE :Le soldat Larose-Pompon est très épris de la jeune Nicole; … mais celle-ci ne pourra pas convoler tant que sa tante, la jolie et riche passementière Mme Jobin, veuve, ne sera pas elle-même remariée. Larose va donc tout faire pour favoriser l’union de Mme Jobin avec le sergent Lanternick, un brave militaire à I’accent alsacien très prononcé (« J’ai un tiaple d’accent cirgonflexe ! »), qui, de son côté, voudrait bien « faire une p’tit’ gonnaissance ». La maladresse du sergent, qui, en outre, préfèrera la nièce à la tante, provoque de multiples péripéties. L’irruption de la patrouille puis du garde-champêtre, et la nuit qui vient ajoutent encore au quiproquo – d’autant plus que seul un des deux militaires possède la fameuse « permission de dix heures ». Mais grâce à la malice de Larose-Pompon, tout se termine pour le mieux : Lanternick se mariera avec Mme Jobin, et il pourra épouser sa Nicole.
DISTRIBUTION
LES CHANTEURS :
Madame Jobin, veuve et marchande passementière : Mélanie Boisvert Nicole, sa nièce : Gianna Cañete Gallo Larose Pompon, soldat : Laurent Arcaro Lanternick, lieutenant alsacien : Yves Coudray Le père Broussaille, garde champêtre : Lionel Peintre Un Caporal : Pierre Méchanick
LES MUSICIENS :
Direction : Mathieu Braud Adaptation musicale : Philippe Hui. Héloïse Hilbert (cor), William Thomas (violoncelle), Abel-Loup Boye (basson) et Camille Tribouillard (clarinette) de l’Ensemble Dénote, et Nina Uhari (Chef de chant et piano)
LA MISE EN SCENE ET LES COSTUMES
Mise en scène et Scénographie : Yves Coudray (à droite) Costumes et décors : Michel Ronvaux (à gauche)
LA REGIE LUMIERE :
Bruno Régnier et Franck Rousseau
Photos : @Laura Dyens-Taar
LA BIOGRAPHIE DES ARTISTES
YVES COUDRAY, metteur en scène et chanteur ténor
Après des débuts d’enfant-comédien (Graine d’Ortie), il intègre le CNSM de Paris à 18 ans et entame dès-lors une carrière de chanteur. Des maisons d’opéras telles que Genève (Orphée aux enfers), Marseille (L’Aiglon), Bordeaux (La Périchole), Rouen (Die Zauberflöte), Metz (Les Brigands), Lausanne (Le Carnaval de Londres, Mireillle…), Nice (Serenade de Britten), l’Opéra-Comique (Les Aventures du roi Pausole, Die lustigen Weiber von Windsor…), et plusieurs festivals, dont Aix-en-Provence, Utrecht, Montpellier et Saint-Etienne, l’ont accueilli.
Parallèlement à son parcours d’interprète, Yves Coudray signe de nombreuses mises en scène en France – Opéras de Marseille (Manon Lescaut, Attila), Montpellier (M. Choufleuri), Nantes (Manon), Nice (Fidelio, Une petite flûte enchantée )… mais aussi à Barcelone, New-York, San Francisco et Boston. Il se consacre également à la formation scénique des jeunes chanteurs (Opéra de Paris, CNIPAL, HEM de Genève, Université de Pepperdine en Californie…).
Depuis 2010, il est le directeur artistique du Festival d’Offenbach d’Etretat
MATHIEU BRAUD – Chef d’Orchestre
Mathieu Braud se forme à la trompette, au tuba, à la contrebasse et au piano avant de s’intéresser à l’écriture musicale, notamment auprès de Claude Henry Joubert et François Saint Yves ainsi qu’à l’analyse auprès de Vincent Barthe et de François Boukobza.
Il se tourne ensuite vers la direction d’orchestre après avoir suivi les master class de Julien Guénebaut, Nicolas Brochot et de Claire Gibault. Il entame alors une formation au Conservatoire Royal de Bruxelles en classe de direction d’orchestre d’où il ressort diplômé en juin 2018.
Dès 2012, il crée avec Nicolas Vasseur, tous deux professeurs d’éducation musicale dans le secondaire, l’Orchestre OPPERA, Orchestre des Personnels des Parents et des ÉlèvesRéunis en Association, qui réunit amateurs ou professionnels, pour interpréter un répertoire ambitieux et exigeant, dans une démarche de partage et de proximité avec son public.
En 2016, il dirige l’ensemble londonien United Strings of Europe composé de musiciens issus de la Royal Academy de Londres.
Depuis plusieurs années, Il participe au Projet Demos à la Philharmonie de Paris et en Ile de France et dirige depuis 2017 l’Orchestre Universitaire de Lille.
En 2017 également, il crée son propre orchestre professionnel, l’ensemble Dénote avec une vingtaines de musiciens professionnels, avec l’objectif de jouer partout et pour tous, dans des salles de concerts mais aussi en entreprises, dans les lycées et les collèges que Mathieu connaît bien pour y avoir enseigné la musique, et dans tous lieux où la musique peut-être partagée avec un public curieux de découverte. Il souhaite aussi créer des ciné-concert et développer un axe d’enregistrement de musiques de films.
C’est en juillet 2018 qu’il transmet sa baguette de l’Orchestre Oppera pour s’investir dans ses nouveaux projets avec l’Ensemble Dénote.
» Il faut penser les spectacles autrement, pas avec des spectateurs endimanchés. Nous voulons toucher l’habitant qui n’a pas l’occasion d’aller dans des salles de concert. Il a le droit d’entendre du Mozart. Nous voulons créer la surprise dans tous les lieux qui ne sont pas dédiés aux concerts en y impliquant le public et en lui faisant vivre une expérience. Nous souhaitons transmettre la musique partout et pour tous,et des échanges avec le public après les concerts. »Le Montreuillois du 12/07/2018.
MÉLANIE BOISVERT – soprano
La soprano canadienne fait ses débuts dans le rôle d’Olympia à l’Opéra national du Rhin en 2002 et foule les planches de nombreuses maisons d’opéra de France et d’Europe dans un répertoire de haute-voltige.
Elle chante Clorinde (Cendrillon/N. Isouard) à l’opéra de Malte, Amour (Orphée et Eurydice) au Festival Les Antiques de Glanum. On l’a entendue dans La folie d’Offenbach sur France3, Adele (La chauve-souris) aux Folies d’Ô à Montpellier, Gabrielle (La vie parisienne) aux opéras de Saint-Etienne et de Strasbourg, Papagena aux Soirées Lyriques de Sanxay, Les Jeux de l’amour et d’Offenbach au Théâtre de Poche Montparnasse à Paris, Tytania (A Midsummer Night’s Dream) et Lakmé à Metz, Prothoe (Penthesilea/Dusapin) à la Monnaie de Bruxelles… Elle est aussi familière de la création contemporaine avec 200 Motels de Frank Zappa à la Philharmonie de Paris.
GIANNA CAÑETE GALLO – Soprano
Cette jeune soprano, belge et uruguayenne, est diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles, du Conservatoire Supérieur de Florence, de la Hochschule für Musik de Nürnberg et de l’European Vocal Departement de l’Institut de Musique et de Pédagogie.
Sa voix ronde et fraîche alliée à sa sensibilité raffinée l’amène à se produire en tant que chambriste mais aussi à l’Opéra Royal de Wallonie, au Théâtre Royal du Parc à Bruxelles, au Theatru Astra à Malte, au COOL Theater en Hollande et au Göggingen Parktheater en Allemagne, dans les rôles de Suor Genovieffa (Suor Angelica), Adèle (Die Fledermaus), Ännchen (Der Freischütz), Papagena et Pamina (Die Zauberflöte), Despina (Così fan tutte) et Barbarina (Le Nozze di Figaro).
Lors de masterclasses, elle a travaillé avec Laura Claycomb, Claudia Visca, Elizabeth Vidal, Nadine Denize, José Van Dam, Edith Wiens, Anna Tomowa-Sintow, Jennifer Larmore et Andreas Scholl. Elle fera prochainement ses débuts dans le rôle de Konstanze (Die Entführung aus dem Serail) et la Messe en ut de Mozart à Bruxelles.
NINA UHARI – Pianiste et Chef de chant
Elle effectue ses études de piano à l’Académie Sibelius de Helsinki, avant de se perfectionner à Baltimore puis à Paris – elle est premier prix de piano aux concours Hannikainen et Fazer en Finlande et remporte le prix Spedidam au concours du forum de Normandie en France. Elle devient chef de chant principal au CNIPAL à Marseille puis est engagée à la Haute École de Musique de Genève. Elle est également titulaire d’une classe de rôles à l’Ecole Normale de Musique de Paris. Nina Uhari s’est produite en récitals de piano ou de lieder, ou en concerts de musique de chambre, en Finlande et en France mais aussi en Allemagne, Autriche, Espagne, Colombie, au Togo et aux USA, et dans plusieurs festivals (MIDEM, Radio France, Aix en Provence, Montpellier, Chorégies d’Orange). Elle a été également invitée comme chef de chant dans plusieurs théâtres en France (dont le Châtelet) et à l’étranger.
LAURENT ARCARO – Baryton
Après des études de chant au CNSMDP (classe de Mireille Alcantara), il intègre les classes d’Ulrich Eisenlohr et de Rudolf Piernay à la Musikhochschule de Mannheim. Lauréat de plusieurs concours : Toulouse, St-Chamond, Clermont-Ferrand… il intègre le Studio-Oper de Mannheim Puis, il chante sous la direction de Michel Plasson à Toulouse, de J.-Y.Ossonce à Tours, et Roland Boer au Staatsoper Stuttgart, au Staatsoper Frankfurt am Main, et au Staatsoper Berlin.Partagé entre la France, l’Allemagne et les Etats-Unis, il tourne aussi dans quelques films et courts-métrages – dont Heart Zero, prix du meilleur court-métrage à Los Angeles -, et tente de promouvoir la musique française à travers les continents.
PIERRE MÉCHANICK – Baryton
Après ses études au CNSM, où il obtient en 1990 un Premier Prix d’Opérette, il se spécialise dans les rôles « bouffe » et “fantaisistes à voix” du répertoire lyrique. Parallèlement à sa carrière de chanteur, il crée la Troisième Ligne, trio comique. Auteur-interprète, il produit régulièrement son récital Le Chemin des Dames, spectacle autour des chansons de la Grande Guerre pour lequel il a reçu le label du Comité du Centenaire 14-18. Il travaille actuellement sur une nouvelle création qui verra le jour en novembre 2018, avec Gilles Bugeaud et de nombreux autres artistes chanteurs et musiciens.
LIONEL PEINTRE– Baryton
Il partage ses activités entre Opéra, Opérette, Récital et Musique Contemporaine. Interprète reconnu dans de nombreux théâtres : Opéra de Paris, Capitole de Toulouse, Opéra du Rhin, Genève, Berne, Tel Aviv, Anvers, Opéra de Lyon, Chorégies d’Orange, sous la direction de chefs tels que Michel Plasson, Myng Wung Chung, Jean-Yves Ossonce, Pascal Rophé. En 2015, il est Golaud (Pelléas et Mélisande) à Zagreb et le rôle-titre de Giordano Bruno, opéra de F. Filidei à Strasbourg, Paris, Milan. En 2017, il participe au KeinLicht, Thinkspielde P. Manoury à l’Opéra-Comique. En 2018, après Marouf de H.Rabaud à Bordeaux et Paris, il sera à la Philharmonie de Paris pour 200 Motels de F.Zappa.
MICHEL RONVAUX – Costumier, Scénographe
Une formation artistique commencée très jeune à l’Ecole d’Art et Dessin de Paris le conduit à l’Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg puis à l’ENSATT. Il entre ensuite à l’Opéra de Paris en 1975 comme décorateur-costumier. Il y dirigera l’atelier de décoration sur costumes de 1983 à 2015.
Une curiosité permanente l’amène à participer à des manifestations artistiques très diverses – téléfilms, clips publicitaires, spectacles de variété, opérettes…
Il collabore notamment avec Dominique Pitoiset et Stephen Taylor, Mireille Larroche, Jean Louis Martinelli et Yves Coudray et scénographie ainsi les costumes de nombreuses productions pour l’Opéra de Nice (Le nozze di Figaro), l’Opéra-Comique (La Bohème, V’lan, dans l’œil), le Théâtre des Champs Elysées (Les divertissements de Versailles), le théâtre Jean Vilar de Suresnes et également pour l’Atelier Lyrique de L’Opéra National et le CNSM de Paris.
LE BEST-OFF DE LA CREATION
Les répétitions musicales
CONTACT PRODUCTION :
Laura Dyens-Taar
La Locomotive des Arts Accompagnement d’Artistes et de projets artistiques
La permission de dix heurespermet à Offenbach de retrouver l’atmosphère du 18ème siècle qu’il aime tant. L’ouvrage, d’abord présenté à Ems en 1867, fût créé à Paris en 1873, le même soir que Pomme d’Api, et par les mêmes interprètes. Sur un livret à première vue banal mais plein de rebondissements et de situations cocasses, Offenbach a écrit une de ces musiques raffinées qui lui valurent Ie surnom de « petit Mozart des Champs Elysées ».
L’HISTOIRE :Le soldat Larose-Pompon est très épris de la jeune Nicole
… mais celle-ci ne pourra pas convoler tant que sa tante, la jolie et riche passementière Mme Jobin, veuve, ne sera pas elle-même remariée.
Larose va donc tout faire pour favoriser l’union de Mme Jobin avec le sergent Lanternick, un brave militaire à I’accent alsacien très prononcé (« J’ai un tiaple d’accent cirgonflexe ! »), qui, de son côté, voudrait bien « faire une p’tit’ gonnaissance ».
La maladresse du sergent, qui, en outre, préfèrera la nièce à la tante, provoque de multiples péripéties.
L’irruption de la patrouille puis du garde-champêtre, et la nuit qui vient ajoutent encore au quiproquo – d’autant plus que seul un des deux militaires possède la fameuse « permission de dix heures ». Mais grâce à la malice de Larose-Pompon, tout se termine pour le mieux : Lanternick se mariera avec Mme Jobin, et il pourra épouser sa Nicole.
EXTRAIT VIDEOS (captation amateure avec un mauvais son….) DU SPECTACLE :
DISTRIBUTION
LES CHANTEURS : Madame Jobin, veuve et marchande passementière : Mélanie Boisvert Nicole, sa nièce : Gianna Cañete Gallo Larose Pompon, soldat : Laurent Arcaro Lanternick, lieutenant alsacien : Yves Coudray Le père Broussaille, garde champêtre : Lionel Peintre Un Caporal : Pierre Méchanick
LES MUSICIENS – Direction : Mathieu Braud – Adaptation musicale : Philippe Hui. Héloïse Hilbert (cor), William Thomas (flûte), Abel-Loup Boye (basson) et Camille Tribouillard (clarinette) de l’Ensemble Dénote, et Nina Uhari (Chef de chant et piano)
LA MISE EN SCENE ET LES COSTUMES Mise en scène et Scénographie : Yves Coudray (à droite) Costumes et décors : Michel Ronvaux (à gauche)
LA BIOGRAPHIE DES ARTISTES
YVES COUDRAY, metteur en scène et chanteur ténor
Après des débuts d’enfant-comédien (Graine d’Ortie), il intègre le CNSM de Paris à 18 ans et entame dès-lors une carrière de chanteur. Des maisons d’opéras telles que Genève (Orphée aux enfers), Marseille (L’Aiglon), Bordeaux (La Périchole), Rouen (Die Zauberflöte), Metz (Les Brigands), Lausanne (Le Carnaval de Londres, Mireillle…), Nice (Serenade de Britten), l’Opéra-Comique (Les Aventures du roi Pausole, Die lustigen Weiber von Windsor…), et plusieurs festivals, dont Aix-en-Provence, Utrecht, Montpellier et Saint-Etienne, l’ont accueilli.
Parallèlement à son parcours d’interprète, Yves Coudray signe de nombreuses mises en scène en France – Opéras de Marseille (Manon Lescaut, Attila, Monsieur Choufleuri, Pomme d’Api…), Montpellier (M. Choufleuri), Nantes (Manon), Nice (Fidelio, Une petite flûte enchantée )… mais aussi à Barcelone, New-York, San Francisco et Boston. Il se consacre également à la formation scénique des jeunes chanteurs (Opéra de Paris, CNIPAL, HEM de Genève, Université de Pepperdine en Californie…). En 2019/2020, il met en scène « Pomme d’Api » d’Offenbach et « Le singe d’une nuit d’été » à l’Opéra de Marseille, de Toulon, et d’avignon.
Depuis 2010, il est le directeur artistique du Festival d’Offenbach d’Etretat
MATHIEU BRAUD – Chef d’Orchestre
Mathieu Braud se forme à la trompette, au tuba, à la contrebasse et au piano avant de s’intéresser à l’écriture musicale, notamment auprès de Claude Henry Joubert et François Saint Yves ainsi qu’à l’analyse auprès de Vincent Barthe et de François Boukobza. Il se tourne ensuite vers la direction d’orchestre après avoir suivi les master class de Julien Guénebaut, Nicolas Brochot et de Claire Gibault. Il entame alors une formation au Conservatoire Royal de Bruxelles en classe de direction d’orchestre d’où il ressort diplômé en juin 2018.
De 2012 à 2018, il co-crée et dirige l’Orchestre OPPERA qui réunit amateurs ou professionnels, pour interpréter un répertoire ambitieux et exigeant, dans une démarche de partage et de proximité avec son public, tout en dirigeant L’OUL, l’Orchestre Universitaire de Lille de 2016 à 2019 et en participant au Projet Demos à la Philharmonie de Paris et en Ile de France
. Il créé en 2017 son propre orchestre professionnel, l’ENSEMBLE DÉNOTE composé d’une vingtaines de musiciens tous issus de grandes formations, avec l’objectif de jouer partout et pour tous, dans des salles de concerts mais aussi en entreprises, dans les établissements scolaires et dans tous lieux où la musique peut-être partagée avec un public curieux de découverte.
Aujourd’hui, Mathieu Braud multiplie les projets en tant que Chef invité (Direction de l’United Strings of Europe composé de musiciens issus de la Royal Academy de Londres, Direction à l’Institut du Monde Arabe du YAPO, Young Arab Philharmonique Orchestra (juin 2019), Direction de l’Orchestre et le Choeur du Palais de Arts de Tunis (novembre 2019), enregistrement de musiques de films, création de ciné-concerts…) parallèlement au développement de l’Ensemble Dénote.
MÉLANIE BOISVERT – soprano
La soprano canadienne fait ses débuts dans le rôle d’Olympia à l’Opéra national du Rhin en 2002 et foule les planches de nombreuses maisons d’opéra de France et d’Europe dans un répertoire de haute-voltige.
Elle chante Clorinde (Cendrillon/N. Isouard) à l’opéra de Malte, Amour (Orphée et Eurydice) au Festival Les Antiques de Glanum. On l’a entendue dans La folie d’Offenbach sur France3, Adele (La chauve-souris) aux Folies d’Ô à Montpellier, Gabrielle (La vie parisienne) aux opéras de Saint-Etienne et de Strasbourg, Papagena aux Soirées Lyriques de Sanxay, Les Jeux de l’amour et d’Offenbach au Théâtre de Poche Montparnasse à Paris, Tytania (A Midsummer Night’s Dream) et Lakmé à Metz, Prothoe (Penthesilea/Dusapin) à la Monnaie de Bruxelles… Elle est aussi familière de la création contemporaine avec 200 Motels de Frank Zappa à la Philharmonie de Paris.
GIANNA CAÑETE GALLO – Soprano
Cette jeune soprano, belge et uruguayenne, est diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles, du Conservatoire Supérieur de Florence, de la Hochschule für Musik de Nürnberg et de l’European Vocal Departement de l’Institut de Musique et de Pédagogie.
Sa voix ronde et fraîche alliée à sa sensibilité raffinée l’amène à se produire en tant que chambriste mais aussi à l’Opéra Royal de Wallonie, au Théâtre Royal du Parc à Bruxelles, au Theatru Astra à Malte, au COOL Theater en Hollande et au Göggingen Parktheater en Allemagne, dans les rôles de Suor Genovieffa (Suor Angelica), Adèle (Die Fledermaus), Ännchen (Der Freischütz), Papagena et Pamina (Die Zauberflöte), Despina (Così fan tutte) et Barbarina (Le Nozze di Figaro).
Lors de masterclasses, elle a travaillé avec Laura Claycomb, Claudia Visca, Elizabeth Vidal, Nadine Denize, José Van Dam, Edith Wiens, Anna Tomowa-Sintow, Jennifer Larmore et Andreas Scholl. Elle fera prochainement ses débuts dans le rôle de Konstanze (Die Entführung aus dem Serail) et la Messe en ut de Mozart à Bruxelles.
NINA UHARI – Pianiste et Chef de chant
Elle effectue ses études de piano à l’Académie Sibelius de Helsinki, avant de se perfectionner à Baltimore puis à Paris – elle est premier prix de piano aux concours Hannikainen et Fazer en Finlande et remporte le prix Spedidam au concours du forum de Normandie en France.
Elle devient chef de chant principal au CNIPAL à Marseille puis est engagée à la Haute École de Musique de Genève. Elle est également titulaire d’une classe de rôles à l’Ecole Normale de Musique de Paris.
Nina Uhari s’est produite en récitals de piano ou de lieder, ou en concerts de musique de chambre, en Finlande et en France mais aussi en Allemagne, Autriche, Espagne, Colombie, au Togo et aux USA, et dans plusieurs festivals (MIDEM, Radio France, Aix en Provence, Montpellier, Chorégies d’Orange). Elle a été également invitée comme chef de chant dans plusieurs théâtres en France (dont le Châtelet) et à l’étranger.
Elle est chef de chant du Festival Offenbach d’Etretat depuis plusieurs années.
LAURENT ARCARO – Baryton
Après des études de chant au CNSMDP (classe de Mireille Alcantara), il intègre les classes d’Ulrich Eisenlohr et de Rudolf Piernay à la Musikhochschule de Mannheim. Lauréat de plusieurs concours : Toulouse, St-Chamond, Clermont-Ferrand… il intègre le Studio-Oper de Mannheim.
Puis, il chante sous la direction de Michel Plasson à Toulouse, de J.-Y.Ossonce à Tours, et Roland Boer au Staatsoper Stuttgart, au Staatsoper Frankfurt am Main, et au Staatsoper Berlin.Partagé entre la France, l’Allemagne et les Etats-Unis, il tourne aussi dans quelques films et courts-métrages – dont Heart Zero, prix du meilleur court-métrage à Los Angeles -, et tente de promouvoir la musique française à travers les continents.
PIERRE MÉCHANICK – Baryton
Après ses études au CNSM, où il obtient en 1990 un Premier Prix d’Opérette, il se spécialise dans les rôles « bouffe » et “fantaisistes à voix” du répertoire lyrique.
Parallèlement à sa carrière de chanteur, il crée la Troisième Ligne, trio comique.
Auteur-interprète, il produit régulièrement son récital Le Chemin des Dames, spectacle autour des chansons de la Grande Guerre pour lequel il a reçu le label du Comité du Centenaire 14-18.
Il créé régulièrement des spectacles musicaux avec sa structure « Quand on est trois » avec Gilles Bugeaud, dont sa dernière création « Azor » qui remporta récemment un grand succès au Théâtre de l’Athénée à Paris.
Pierre Méchanick est régulièrement invité au Festival Offenbach d’Etretat dans la troupe d’Yves Coudray dans des rôles comiques où il excelle.
LIONEL PEINTRE– Baryton
Il partage ses activités entre Opéra, Opérette, Récital et Musique Contemporaine. Interprète reconnu dans de nombreux théâtres : Opéra de Paris, Capitole de Toulouse, Opéra du Rhin, Genève, Berne, Tel Aviv, Anvers, Opéra de Lyon, Chorégies d’Orange, sous la direction de chefs tels que Michel Plasson, Myng Wung Chung, Jean-Yves Ossonce, Pascal Rophé.
En 2015, il est Golaud (Pelléas et Mélisande) à Zagreb et le rôle-titre de Giordano Bruno, opéra de F. Filidei à Strasbourg, Paris, Milan. En 2017, il participe au KeinLicht, Thinkspielde P. Manoury à l’Opéra-Comique. En 2018, après Marouf de H.Rabaud à Bordeaux et Paris, il sera à la Philharmonie de Paris pour 200 Motels de F.Zappa.
Récemment, Lionel Peintre jouait un rôle titre à l’Opéra comique dans Madame Favart.
Lionel Peintre est régulièrement invité au Festival Offenbach d’Etretat dans la troupe d’Yves Coudray dans des rôles « sérieux » !
MICHEL RONVAUX – Costumier, Scénographe
Une formation artistique commencée très jeune à l’Ecole d’Art et Dessin de Paris le conduit à l’Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg puis à l’ENSATT. Il entre ensuite à l’Opéra de Paris en 1975 comme décorateur-costumier. Il y dirigera l’atelier de décoration sur costumes de 1983 à 2015.
Une curiosité permanente l’amène à participer à des manifestations artistiques très diverses – téléfilms, clips publicitaires, spectacles de variété, opérettes…
Il collabore notamment avec Dominique Pitoiset et Stephen Taylor, Mireille Larroche, Jean Louis Martinelli et Yves Coudray et scénographie ainsi les costumes de nombreuses productions pour l’Opéra de Nice (Le nozze di Figaro), l’Opéra-Comique (La Bohème, V’lan, dans l’œil), le Théâtre des Champs Elysées (Les divertissements de Versailles), le théâtre Jean Vilar de Suresnes et également pour l’Atelier Lyrique de L’Opéra National et le CNSM de Paris.
LE BEST-OFF DE LA CREATION
Les répétitions musicales
Les répétitions sur scène
Et en coulisses
CONTACT TOURNÉES:
Laura Dyens-Taar
La Locomotive des Arts
Accompagnement d’Artistes et de projets artistiques
Yves Coudray présente le Festival Offenbach d’Etretat
Le dimanche 5 août, le Festival Offenbach d’Etretat lançait son 13ème Festival -Le Festival est en pleine adolescence, comme le disait Laetitia Thomas, sa Présidente (à droite sur la photo, aux coté de Mr le Maire Adjoint à la culture)- avec son désormais traditionnel concert d’ouverture sur le Perrey devant la mer.
Yves Coudray, Directeur artistique du Festival, et chanteur lyrique
Environ 300 personnes, touristes de passage, mélomanes, vacanciers et habitués du Festival, se sont retrouvés devant le petit kiosque à musique sur lequel tournaient les goélands qui chantaient déjà allègrement leur musique à la mode d’Offenbach.
Sur scène, dix musiciens de l’Ensemble Dénote et leur chef, Mathieu Braud (à droite), ont joué avec allégresse des musiques légères et bien connues de Bizet, Fauré, Grieg, même d’Enno Morricone, et bien-sûr de Jacques Offenbach avec son célébrissime Cancan d’Orphée aux Enfers.
Mélanie Boisvert et Mathieu Braud à la baguette
L’Ensemble Dénote a été bientôt rejoint par les chanteurs du Festival, leur Directeur artistique, Yves Coudray et leur Chef de chant, Nina Uhari. Musiciens et chanteurs ont ainsi présenté en avant première au public Etretait des extraits des opérettes qui seront présentées les 9, 11 et 12 août à Etretat et Sainte-Adresse, « Dragonette » et « La permission de 10h ».
Dans l’opéra, on s’aventure à vouloir résoudre ce mystère qui n’a jamais jamais connu de loi.
Marguerite, ( la soprano), et Constant (le ténor), couple mythique, vous embarquent dans des histoires éternelles, des harmonies sublimes, pour chanter l’amour avec Bizet, essuyer une larme d’émotion avec Verdi et rire aux éclats avec Offenbach. En route pour le rêve … d’amour éternel
PROGRAMME DES AIRS CHANTÉS:
Duo de la gantière et du bottier – La vie parisienne, Offenbach.
Anges du Paradis – Mireille, Gounod.
Air des bijoux– Faust, Gounod.
Fantaisie aux divins mensonges – Lakmé, Delibes
Un di felice – Traviata, Verdi.
Air de la griserie– La périchole, Offenbach
Un di felice– Traviata, Verdi.
E il sol dell anima– Rigoletto, Verdi.
Tralalala – L’Elixir d’amour, Donizetti.
Transcription piano – Roméo et Juliette, Tchaïkovski
Ton cœur n’a pas compris le mien– Les pêcheurs de perles, Bizet.
Cyril Verhulst débute le chant choral sous la direction de Francis Bardot à la Maîtrise des Hauts de Seine, dont il était soliste à 13 ans. Il participe à la fondation du Jeune Chœur, Ensemble Vocal et Chœur Symphonique d’Ile de France, avec lesquels il se produit depuis, en tant que soliste et choriste.
Chantre du Centre de Musique Baroque de Versailles en 2005, il étudie ensuite au CRR de Boulogne Billancourt, dans la classe de Blandine de Saint-Sauveur puis il suit les cours de Lionel Sarrazin.
En collaboration régulière avec Francis Bardot et son Académie Chorale d’Ile de France, la Maîtrise Saint-Louis de Gonzague de Paris et les Estivales de Puisaye, il chante, en soliste, tous les grands oratorios, notamment le Stabat Mater de Dvorak, les Requiem de Mozart et de Saint-Saëns, le Messie de Haendel, le Magnificat, la Messe en Si …
Sur scène, il chante, entre autres, Alfredo dans la Traviata de Verdi, Ferrando dans Cosi Fan Tutte, Tamino dans la Flûte Enchantée et Basile dans les Noces de Figaro de Mozart, Le Prince Paul dans la Grande Duchesse de Gérolstein, Pâris dans la Belle Hélène, Gustave dans Pomme d’Api et Orphée dans Orphée aux enfers d’Offenbach.
Après 6 ans au Chœur de l’Armée Française sous la direction d’Aurore Tillac, il intègre, en janvier 2018, le Chœur de Radio France dirigé par Sophie Jeannin.tival de musique classique se déroulant dans l’Yonne la dernière quinzaine d’août.
Lucie Emeraude, soprano
Après obtention d’un master en musicologie à l’université de Bordeaux III, Lucie se forme en chant lyrique auprès de Lionel Sarrazin depuis 2011, et rejoint la compagnie de chanteurs lyriques «Opéra Bastide » à Bordeaux dans laquelle elle participera à de nombreux concerts et événements lui permettant de se découvrir dans des seconds rôles d’opéra tels Papagena et le premier enfant dans « la Flûte enchantée » de Mozart avec orchestre (dir. Bruno Ricaud), Frasquita dans « Carmen » de Bizet et Gianetta dans « L’Elisir d’amore » de Donizetti avec orchestre (dir. Alexis Duffaure).
Elle entre dans l’atelier lyrique du conservatoire du 12e arrondissement de Paris et sera Blanche dans l’opéra de Poulenc « Le dialogue des carmélites » en 2013 et la princesse dans « l’Enfant et les Sortilèges » de Ravel en 2014, avec orchestre (dir. Michel Ferran). Co-fondatrice de la compagnie lyrique à Paris ; « Opéra Clandestin », lui offre ses premiers grands rôles, Suzanne dans « Les noces de Figaro » de Mozart et Belinda dans « Didon et Enée » de Purcell en 2016 avec ensemble instrumental (dir. Marc Trautmann).
Lucie poursuit sa formation vocale depuis 2016 avec Maryse Castet professeur au conservatoire de Bordeaux, et intègre l’opéra Studio Les maîtres sonneurs à Toulouse. En 2017 elle chante Eurydice dans « Orphée aux enfers » d’Offenbach avec la compagnie « Opéra Bastide ». En avril 2018 elle chante la soprano soliste du requiem de Mozart ainsi que les Litanies, avec l’atelier vocal d’Auch et l’orchestre Belge « Scorzando » (dir. Joseph Gilet).
Lucie interprète Adina dans « L’Elisir d’amore » de Donizetti avec la compagnie « Opéra Clandestin » en mai 2018 à Paris et Limoges avec l’orchestre Gaudemus (dir. Arnaud Cappelli), qui sera repris à Bordeaux avec orchestre (dir. Alexis Duffaure), Toulouse, et région parisienne en 2019.
Qiaochu LI, pianiste
Après des études avec Maître Zhang Jin au Central Conservatory of Music de Pékin, elle a suivi le précieux enseignement de maître Xu Zhong. Elle remporte plusieurs prix à des concours en Chine dont le Prix spécial Bartók, le 13th Asia Piano Open Competition à Hong Kong et le Grand prix d’honneur du Concours Xinghai à Beijing.
En forme de consécration, Qiaochu joue en concerto à l’âge de 15 ans dans la prestigieuse salle de La Cité Interdite de Pékin.
En 2006, elle gagne le premier prix du Lisma International Music Competition à New York, puis vient en France pour des études à l’École normale de musique de Paris où elle obtient le Diplôme supérieur de concertiste de piano dans la classe de Françoise Thinat ; elle remporte dans la foulée le premier prix du Concours Les Clés d’or, degré excellence, la Médaille d’or à l’unanimité avec félicitations des Rencontres du piano de Lagny-sur-Marne, le Prix d’honneur d’excellence au Concours international Léopold Bellan (musique de chambre) en Trio, etc.. Elle est diplômée de l’Université des arts de Berlin en piano, dans la classe de Jacques Rouvier. Après s’être perfectionnée au CRR de Paris dans les classes d’Ariane Jacob, Phillippe Biros et Jean-Marie Cottet, elle est admise en 2013 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Jean-Frédéric Neuburger et suit actuellement les classes de direction de chant avec Erika Guiomar et d’accompagnement vocal avec Anne Le Bozec.
Son activité intense de chambriste l’amène à jouer en Europe, aux Etats-Unis et en Asie avec des partenaires comme Sébastien Guèze, Dominique de Williencourt, Gerard Poulet, Jean Ferrandis, dans des salles prestigieuses telles que le Théâtre des Champs-Elysées à Paris, la Cité Interdite de Pékin, etc..
Parallèlement à toutes ses activités musicales, elle collabore régulièrement avec le Festival Musicalp à Tignes et l’École normale de musique de Paris.
En octobre 2017, Qiaochu Li associée à la mezzo soprano Ambroisine Bré, remporte le Grand prix de duo chant-piano du Concours international de chant-piano Nadia et Lili Boulanger, et la Mention spéciale pour la meilleure interprétation du Sonnet de Benoît Mernier, œuvre composée spécialement pour cette édition du concours.