Monsieur Choufleuri restera chez lui …. Opéra-Bouffe de Jacques Offenbach Cie Yves Coudray : Edwige Bourdy (Mme Balandard), Louise Leterme (Ernestine), Lionel Peintre (M. Choufleuri), Marc Larcher (Babylas), Pierre Méchanick (M. Balandard), Joseph Kauzman (Petterman-John), Sophie Teulon au piano. Mise en scène : Yves Coudray, Costumes : Majan Pochard et Michel Ronvaux – Lumière : Franck Rousseau et Pierre Lavant. Habilleuse : Emma Georgeon Production : Le Festival Offenbach d’Etretat – Production déléguée : La Locomotive des Arts
Mise en scène, adaptation et scénographie : Yves Coudray
Choufleuri : Lionel Peintre Ernestine : Louise Leterme Chrysodule Babylas : Marc Larcher Peterman : Joseph Kauzman Mme Balandard : Edwige Bourdy M. Balandard : Pierre Méchanick Au Piano : Nina Uhari ou Sophie Teulon
Création costumes : Majan Pochard et Michel Ronvaux Costumière : Emma Georgeon- Régie : Franck Rousseau
L’HISTOIRE (transposée dans les années 30)
Choufleuri, heureux inventeur de la “gaine Choufleuri”, monte à Paris pour en organiser le lancement. À peine installée, sa fille Ernestine a déjà séduit Babylas dont son père ne veut évidemment pas entendre parler car il est pauvre et musicien ! M. Choufleuri inonde le «tout Paris » d’invitations promettant la présence chez lui des trois plus célèbres vedettes du cinéma chantant : Lily Pons, Tino Rossi et Enzio Pinza. Mais une heure avant l’arrivée des invités, les trois artistes ont décidé, « d’un commun accord », d’être malades ce soir-là !!!
Production : Festival Offenbach d’Etretat –
Production déléguée: La Locomotive des Arts
« Captivant et diaboliquement distrayant ! Au final, un spectacle de théâtre visuel habile, riche de sens et de trouvailles, qui déroule une dramaturgie simple mais réellement hypnotisante pendant les 20 minutes qu’il dure. Une preuve que la simplicité peut rimer avec la qualité » Mathieu Dochterman, Toutelaculture.com ★★★★★
Cabaret fantaisiste déjanté entre rires et larmes autour du répertoire de Marie Dubas, la plus brillante fantaisiste de l’entre-deux-guerres.
En 2022, nous célèbrerons le 50ème anniversaire de la disparition de Marie Dubas.
Comédie et chant : Edwige Bourdy Piano : Christophe Maynard
Mise en scène : Vincent Vittoz Chorégraphie : Anne-Marie Gros Costumes et accessoires : Michel Ronvaux
Depuis sa création en 2003 à La Péniche Opéra, et au Festival d’Avignon en 2005, en passant notamment par les opéras de Rennes, Toulon et Saint-Etienne, ce spectacle a triomphé dans toute la France. L’irrésistible Edwige Bourdy, s’est emparée de cet incroyable répertoire de Marie Dubas, l’enfant terrible du music-hall , véritable révolutionnaire de la chanson. Du « Tango stupéfiant », à « C’est toujours ça d’pris » , de
« J’suis bête » au « Vieux phonographe » chaque interprétation est une petite horlogerie d’une virtuosité éblouissante donnant vie à toute une galerie de personnages, loufoques, pathétiques, poétiques ou désopilants.
MARIE DUBAS était pour Colette « cette femme belle comme un tison qui compose une chanson avec une lucidité de peintre ardent et patient ». « Le Tango stupéfiant », « Mon légionnaire », « Le doux caboulot », « Pedro », « La mauvaise prière », « Quand je danse avec lui »… et autres cinq cents titres, auront étés savamment choisis et interprétés pendant plus de 30 ans par cette révolutionnaire de la chanson française. Elle fut l’inspiratrice de Piaf qui chanta à son tour « Mon légionnaire » avec le succès que l’on connait.
EDITH PIAF REND UN HOMMAGE EMOUVANT A MARIE DUBAS
Extraits : « Marie, vais-je savoir trouver les mots qui traduiront toute l’admiration que j’ai vous et pour la grande artiste que vous êtes. Je vous dois tant, et vous avez été pour moi la révélation dans ce merveilleux métier. Je me suis inspirée de vous, Marie et j’avoue humblement avoir retrouvé beaucoup de vous dans la façon d’interpréter mes chansons. La grande fantaisie est un art bien difficile. Personne n’a pu imiter vos attitudes, vos gestes, votre spontanéité, vos trouvailles, la façon de camper vos personnages. Que d’esprit et que d’humour. Vous avez été la première à faire voler en éclat de rire toute une salle. Que de joies, que d’émotions je vous dois. Je vous admire de tout mes yeux, de tout mon coeur, vous êtes la plus grande, et merci Marie, merci infiniment de m’avoir tant donné ». EDITH PIAF, New York 1955
MARIE DUBAS
En 1927, avec son passage en tête d’affiche à l’Olympia, commence pour Marie Dubas une carrière de trente années de chansons et de succès qui vont la consacrer comme une des toutes grandes interprètes de la chanson française. Ses tours de chant jouent sur toute la gamme des sentiments, du comique au tragique, qu’elle mêle sans cesse, faisant rire parfois dans le premier couplet et pleurer dans le dernier. En 1932, elle s’essaya la première sans doute, au récital de 35 à 40 chansons, seule enscène, accompagnée d’un piano. Cette formule inaugurée par elle à Paris au GrandThéâtre des Champs Elysées en mars 1933 sera reprise par Maurice Chevalier qui nel’adoptera pourtant qu’après la guerre, suivi par tous les grands : Piaf, Montand, etc.Avec un répertoire tel que le sien, Marie Dubas aura le privilège de toucher durant lestrente années de son « vedettariat » tous les publics, du plus populaire au plus « snob ».Elle passera des grandes salles de 3000 places aux cabaret intimes avec le même bonheur. Sa santé seule la contraint à mettre un terme en 1958 à une carrière de 50 ans de scène.
NOTE D’INTENTION DU METTEUR EN SCÈNE, VINCENT VITTOZ
« Edwige BOURDY n’est pas et ne sera jamais Marie DUBAS. Mais elle en a la fantaisie, une fantaisie, voir une folie toute personnelle qu’elle met au service de ce répertoire qui semble avoir été créé pour elle. Et c’est cela que j’ai choisi de mettre en scène. Ce n’est ni un spectacle sur Marie Dubas avec Edwige Bourdy, ni un récital d’Edwige Bourdy, avec le concours de Marie Dubas. Avec l’appui de Christophe Maynard, et grâce à un travail musical approfondi, Edwige s’est fait sien ce répertoire, mais toujours avec l’humilité de garder en mémoire l’esprit des chansons qui ont été interprétées par Marie Dubas. Cela grâce à un travail musical approfondi. Ensemble, nous avons décortiqué les textes pour en faire surgir ce qui aujourd’hui peut encore nous émouvoir ou nous faire rire et puis à la fin de ce travail, elle a laissé parler, surgir cet étonnant tempérament qui est le sien afin de réaliser son spectacle. Personne dans cette entreprise n’a travaillé pour soi. Marie Dubas travaillait pour son public, Edwige Bourdy, Christophe Maynard ont travaillé à servir au mieux le répertoire de cette grande interprète, et moi-même, avec le concours d’Anne-Marie Gros, j’ai travaillé à servir les talents d’Edwige pour ainsi mieux l’offrir au public d’aujourd’hui. Et devant tout ce « travail », je crois que de là-haut, Marie Dubas qui aimait tant cette valeur, peut être heureuse et fière. Ainsi la boucle est bouclée. Vincent Vittoz
Pourquoi ce spectacle ? « Parce que lorsque j’ai entendu les enregistrements de Marie Dubas, mon cœur n’en a pas cru ses oreilles. Comment était-ce possible, à la fois tant de fantaisie, de culot,de grâce, d’émotion de douce folie !… Cette femme m’a électrisée et bouleversée à la foiset j’ai senti que je ne pouvais pas passer à côté de ce répertoire. Aussi, lorsque Vincent Vittoz m’a suggéré cette aventure théâtrale et musicale, j’ai fumé de l’eucalyptus, prisétrois boules de naphtaline et j’ai dit : « OUI ». Edwige Bourdy, chanteuse
VINCENT VITTOZ
Artiste à multiples facettes, à la fois chanteur (ténor), comédien, metteur en scène, Vincent VITTOZ a été conseiller à la Péniche-Opéra, enseignant des arts de la scène au conservatoire du IXème et au CRR de Paris et au Conservatoire national Supérieur de Musique de Paris. Son parcours éclectique l’a conduit de l’univers du théâtre et du cinéma à celui du théâtre lyrique et de la comédie-musicale. Il s’est produit en tant que chanteur dans de nombreux lieux : à l’Opéra de Liège et de Marseille, au Festival d’Ajaccio et de Gavarnie, au Théâtre Mogador etc…. Au cinéma, on a pu le voir dans La Maison Assassinée de Georges Lautner. Il met en scène de nombreux spectacles dont : The Old Maid and the Thief (Menotti) à la Péniche-Opéra, Ba-ta-clan et Croquefer (Offenbach) à l’Opéra de Lausanne, La Bonne d’enfants (Offenbach), Les Tréteaux de Maître Pierre (M. de Falla), L’Ecureuil malicieux (Nino Rota), Mort à Venise (Benjamin Britten) et Don Carlos (Verdi) à l’Opéra de Metz. Il adapte, joue et met en scène Aux Enfants qui s’aiment, un spectacle consacré à Jacques Prévert, à la Péniche-Opéra et au Festival d’Avignon. Au Festival de Saint-Céré et à l’Opéra de Massy, La Cambiale di Matrimonio (Rossini) dont il signe également l’adaptation. Xerxès (Haendel) et Madame De (Jean-Michel Damase) à l’Opéra de Genève, Chabrier-Offenbach à l’Atelier Lyrique du Rhin, Don Procopio (Bizet) à l’Opéra de Rennes et signe la conception et la mise en espace d’un concert russe à l’amphithéâtre de l’Opéra Bastille pour son Ecole d’Art Lyrique. Au Festival d’Edimbourg et à Londres, Crimes of Passion (P. Philippe et Piazzola), Fantasio (Offenbach) à Rennes, Nantes, Angers et Tours, Le Songe d’une Nuit d’Eté (B. Britten), Les Aventures du Roi Pausole (Arthur Honegger) et Le Médium et le Pauvre Matelot à l’Opéra de Fribourg. L’Etoile (Chabrier) à Tours, Toulon et Rennes, Pelléas et Mélisande (Debussy) à l’Auditorium du musée d’Orsay. Tom Jones (Philidor) à l’Opéra de Lausanne dont il signe une nouvelle adaptation, Die Entführung aus dem Serail (Mozart) à l’Opéra de Marseille, Véronique à Limoges, Avignon et Metz, Viva la Mamma (Donizetti) opéra de Fribourg et Metz, Les enfants du Levant comédie musicale d’Isabelle Aboulker au CREA, La Mort de Mimi qu’il adapte d’après La Bohème de Puccini en tournée française, De quoi j’ai l’air avec Julie Fuchs à l’opéra d’Avignon et festival de Saint-Denis, Mitridate de Mozart pour le CNSMDP et La Philharmonie de Paris, la création symphonique dirigée par Michel Legrand des Parapluies de Cherbourg de Demy-Legrand au Théâtre du Châtelet avec Natalie Dessay (Globe de Cristal 2015 du meilleur spectacle musical) ainsi que Dialogues des Carmélites de Poulenc au CRR de Boulogne- Billancourt.
En 2016 la Fille du Régiment à l’opéra de Lausanne et en 2017 à l’Opéra de Toulon. Dernièrement il signe la mise en scène de Chambre 113 pour UPL Production au Théâtre de Ménilmontant, Véronique de Messager et La Périchole de Jacques Offenbach pour l’Académie Ravel ainsi qu’Un Mari à la Porte d’Offenbach pour Proquartett.
Citons aussi : L’ultime rendez vous, comédie musicale qu’il écrit et met en scène à la Péniche Opéra , ainsi que Musique de Placard (Dubillard-Offenbach) qu’il joue et met en scène, La Petite Renarde Rusée (Janacek) dont il signe une nouvelle adaptation française au CNSMDP ainsi qu’à Rouen, Liège et Reims, La Serva Padrona (Pergolèse) dont il écrit une adaptation pour les Paladins et la Clef des Champs, Don Giovanni au Théâtre de Bastia, La Voix Humaine à Besançon et au Théâtre de l’Athénée. Lundi, Monsieur vous serez riche (Rémo Forlani et Antoine Duhamel) à l’Opéra de Metz, Die Entführung aus dem Serail à l’opéra de Rennes, Cavalleria Rusticana à l’Opéra de Saint-Etienne et La Vénitienne (Michel De La Barre) au CMB de Versailles
EDWIGE BOURDY
Edwige Bourdy se forme au Conservatoire de Toulouse et à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris, Elle aborde avec le même bonheur des répertoires variés qui vont du Baroque (Dévergondages Baroques avec l’ensemble Almasis) au Music-Hall (Marie Dubas du haut en bas, avec au piano Christophe Maynard, mise en scène de Vincent Vittoz, L’Oiseau Rare avec Benoît Urbain, spectacle écrit par Yves Coudray dans une mise en scène de Caroline Loeb) en passant par le récital avec piano, la musique contemporaine (Les Cantates de Bistrot : musique de Vincent Bouchot d’après les Brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio, En attendant le Messie : musique de Denis Chouillet, textes d’Hanokh Levin), l’Opéra (elle fut Sœur Constance dans les Dialogues des Carmélites de Poulenc, le Feu, la Princesse, le Rossignol dans l’Enfant et les Sortilèges de Ravel) et l’Opérette (Rayon des soieries de Manuel Rosenthal, Agathe dans Véronique de Messager). Sa carrière lyrique l’a vu chanter notamment à l’Opéra-Comique, àl’Opéra de Lyon, à l’Opéra de Montpellier, au Capitole de Toulouse, au Théâtre des Champs-Elysées, au Royal Albert Hall de Londres, avant de l’orienter plus particulièrement vers le théâtre musical: Musique de Placard: Dubillard/Offenbach, Le Chant des Correspondances: Mozart/Coudray, Café Allais: Allais–Mechanick–Bugeaud/Ducloux, Les Boulingrin : Courteline/Aperghis au Theater an der Wien. Elle a participé à de nombreuses créations de Mireille Larroche à la Péniche-Opéra: Le Toréador d’Adam, les Docteurs Miracles : Bizet–Lecocq, les Comédies Madrigalesques avec l’ensemble Clément Jannequin, les Caf’Conc’ Hervé, Shadoks et Compagnie. On peut la voir régulièrement au Festival Offenbach d’Etretat dans Bagatelle, L’Ile de Tulipatan, à L’Opéra Comique dans Robert le Cochon et les kidnappeurs, une création d’Ivan Grinberg et Marc-Olivier Dupin, au Théâtre de la Croix Rousse à Lyon dans le rôle d’Anna dans The King and I mis en scène par Jean Lacornerie, à Paris au Vingtième Théâtre dans Cent miniatures de Philippe Minyana et Bruno Gillet., mise en scène de Mireille Larroche. Elle était dernièrement Junon dans Orphée aux Enfers à l’Opéra de Nantes et d’Angers et Ernestine dans les Jeux de l’Amour et d’Offenbach d’Yves Coudray au Théâtre de Poche. Elle est invitée à Cabourg aux Journées Musicales Marcel Proust pour Avant l’heure où les thés d’après-midi finissaient avec le Trio Georges Sand, Loïc Corbery et Benoît Urbain. Elle conçoit avec ce dernier A l’Ombre des chansonnières pour le Festival de Cabourg et retrouve Anne Gastaldi dans Le Temps d’Aimer, un récital d’opérette qu’elle écrit pour Musicancy au Château d’Ancy le Franc. On a pu l’entendre récemment au CNSMP dans La Voix humaine Cocteau/Poulenc avec Pierre Thibout de la classe d’Erika Guiomar et dans Sextuor de George Aperghis au Festival Musica Sacra de Maastricht, au Studio Raspail, dans Sérénade à Trois en compagnie de Chantal Galiana et de Vincent Leterme. Elle est également professeur au CNSAD de Paris.
CHRISTOPHE MAYNARD
Christophe MAYNARD a travaillé auprès de Dominique Merlet, Victoria Melki et Bruno Rigutto. Médaille d’or à l’unanimité avec félicitations au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison, il est premier nommé à l’unanimité avec félicitations au concours de piano de l’Ecole Normale de Musique de Paris. Christophe MAYNARD est également lauréat du Concours International Claude Kahn et finaliste diplômé du Concours International Viotti-Valsesia (Italie). Diplômé du Ministère de la Culture, il enseigne le piano au Conservatoire de Rueil-Malmaison.Depuis de nombreuses années, Christophe MAYNARD se produit en concert comme soliste ou en musique de chambre tant en France (Paris, Lyon, Nice, Avignon, Toulouse, Albi, Limoges, Pau, Saint-Brieuc, Fort-de-France…) qu’à l’étranger (Allemagne, Danemark, Norvège, Autriche, Hongrie, Japon, Brésil, Roumanie, Russie, Serbie, Suisse). Son premier disque “ Éloge du piano français ” (Lyrinx) comprend des œuvres de d’Indy, Ropartz, Séverac et Gabriel Dupont. Son second disque “ Musique au Louvre sous le Second Empire ” (Maguelone) réunit le grand trio op.26 de Jacques Blumenthal (avec Jean-Claude Bouveresse, violon et Odile Bourin , violoncelle) et des œuvres de Cohen, Pasdeloup et Saint-Saëns. Passionné de musiques rares, Christophe Maynard en est un des meilleurs défenseurs ; il associe une brillante carrière de soliste à celle de “ découvreur ” de chefs-d’œuvre de musiciens méconnus ou délaissés. Soucieux de mieux faire connaître la musique classique à un large public, il anime également des concerts-conférences pour permettre une approche didactique et vivante de la vie et de l’œuvre des grands compositeurs.
Danseuse et comédienne de formation, son travail de chorégraphie débute avec « Arianeà Naxos » de Strauss ; suivent de nombreuses collaborations, dont la chorégraphie deWest Side Story au Volksoper de Vienne, la trilogie Monteverdi (Orfeo, L’Incoronazione di Poppea, il ritorno d’Ulysse) augrand théâtre de Genève et « Die Tode Stadt » de KERNGOLD à l’Opéra de Berlin.Elle chorégraphie les spectacles du Crea (amphithéâtre de la Bastille et invité auxVictoires de la musique) et certaines opérettes d’Offenbach de la Compagnie Yves Coudray. Elle met en scène “entre ciel et terre”, spectacle de mélodies françaises joué à l’opéra de Limoges.
MICHEL RONVAUX
après des études de décorateur scénographe à l’ensatt, michel ronvaux est attiré par l’opéra où il travaille à l’opéra garnier comme décorateur costumier. une curiosité permanente et des goûts créatifs très éclectiques, l’ont amenés à participer à différents types de spectacles: opéras baroques et contemporains (mireille larroche, yves coudray, vincent vittoz), ballets (roland petit), théâtre (comédie française, odéon), cinéma (warner bros), téléfilm (télécip), clips (guesch patti, sylvie vartan…) et clips publicitaires (olympia).
CV DU SPECTACLE
novembre 2003 – CRÉATION Péniche Opéra – Paris août 2004 – Festival des Châteaux – Bruniquel septembre 2004 – Théâtre Municipal – Villefranche de Rouergue hiver 2004 – Tambour Royal – Paris juillet 2005 – Festival Off – Avignon août 2005 – Festival de Lanquais septembre 2005 – Théâtre Municipal – Villefranche de Rouergue octobre 2005 – Espace Lino Ventura – Garges-lès-Gonesses décembre 2005 – Espace Croix Baragnon – Toulouse février 2006 – Auditorium Jean Cayrou – Colomiers juin 2006 – Festival musical de Maintenon – « Sonores » février 2007 – Les rencontres musicales – Albertville mars 2007 – Théâtre Romain Rolland – Villejuif septembre 2007 – Péniche Opéra – Paris août 2008 – Ferme de la Villefavard août 2008 – Festival de Bouchures – Saint Benoît-du-Sault octobre 2008 – Carré Bellefeuille – Boulogne-Billancourt janvier 2009 – Théâtre des trois Vallées – Palaiseau mai 2009 – Auditorium Jean-Pierre Miquel – Vincennes mai 2009 – Festival de Saint-Céré mai 2009 – Espace du Maître de Poste – Coudekerque Branche mai 2009 – Théâtre – Besançon octobre 2009 – Opéra – Toulon décembre 2009 – Le Phénix – Valenciennes août 2010 – Rencontre Musicales des Neuf Fontaines – Couflens juin 2011 – Vingtième Théâtre – Paris mars 2012 – Opéra – Saint-Etienne septembre 2012 – Opéra – Rennes
2019 : reprise du spectacle
juin 2019 : Festival de Théâtre de Saint-Sulpice – Paris septembre 2019 : Petit Théâtre du Presbytère d’Etienville octobre 2019 au Festival d’art lyrique de Charny Orée de Puisaye Juillet 2020 : Festival d’Art lyrique de Montperreux (annulé pour cause de crise sanitaire)
REVUE DE PRESSE – ILS ONT DIT OU ÉCRIT…
« Edwige Bourdy a un talent fou, une sensibilité idéale » NATALIE DESSAY dans DIAPASON
« J’ignorais que j’allais passer une soirée aussi pétillante, drôle, pleine de charme, de talent, de vivacité, d’esprit, d’humour, de grande classe et jamais de vulgarité. Bravo pour cette performance. » MADY MESPLE
« Ce spectacle n’est ni un hommage, ni un plagiat mais une re-appropriation du répertoire de Marie Dubas par Edwige Bourdy.» MARTIN PENET (France Musique)
« Edwige Bourdy m’a «stupéfié». Sans avoir jamais vue Marie Dubas, ma mère, elle réinvente sa cocasserie. D’abord elle s’amuse elle-même, fonce à fond
dans la loufoquerie et la rejoint dans l’émotion. » FRANÇOIS BELLAIR (fils de Marie Dubas)
« Je vous découvre et je vous applaudis. Merci de faire revivre si bien la grande Marie Dubas ». SUZIE DELAIR
“ Edwige Bourdy charme et séduit avec un savoureux kaléiodoscope musical qui ravit les sens (…) et navigue avec bonheur du couplet comique à la chanson réaliste, à l’aise tant dans l’émotion que la gouaille, le rire que la poésie, le mélodrame que la fantaisie” FROGGY’S DELIGHT
« Edwige Bourdy est un joyau aux multiples facettes » LA DEPECHE
« Un spectacle ébouriffant, Une interprète étonnante » LESBIA MAGAZINE
« Une heure de vrai bonheur » LES ECHOS
« Il faut absolument y courir… » CAMPUS
« On sort de là heureux de vivre comme à la fin de «Singin’ in the rain» ou d’une bouteille de champagne avalée avec celle qu’on aime » LA TERRASSE
« Marie Dubas et Edwige Bourdy ont deux points communs : leurs tempéraments et une sensibilité non feinte pour ce spectacle pour lequel les superlatifs me manquent » OPERETTE
Nommé par la radio internationale FIP « ambassadeur de la guitare classique de par le monde », Jérémy Jouve multiplie les tournées internationales, les enregistrements, et les collaborations avec les plus grands interprètes et compositeurs.
Ses études à l’Ecole Normale de Musique puis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, où il suit l’enseignement des grands maîtres Alberto Ponce et Roland Dyens, l’orientent vers une approche engagée et poétique de la musique, une recherche incessante du beau son, et un profond amour et respect du texte.
Prodige de la guitare, sa carrière est marquée par un premier concerto avec orchestre à l’âge de 10 ans, une médaille d’or de conservatoire à 13, une première tournée en Europe à 16, et l’obtention du prestigieux prix du concours international organisé par la Guitar Foundation of America (GFA) remporté à 24 ans au Mexique. De ce parcours hors normes, Jérémy Jouve garde une forte empreinte de sincérité qu’il transmet aujourd’hui avec passion à ses élèves du Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris et du Pôle Supérieur Paris Boulogne-Billancourt, ainsi qu’à l’occasion de masterclasses lors de ses tournées.
En 2003, la GFA lui ouvre les portes d’une tournée nord-américaine de cinq mois et d’un premier enregistrement chez Naxos. Il publie ensuite, en 2008 et 2011, chez ce même label, deux albums consacrés à l’œuvre exigeante pour guitare solo de Joaquín Rodrigo. Un DVD Melbay « Concert Live » édité en 2009 et un album Reference Recordings « Traveling Sonata », en duo avec la flûtiste Viviana Guzman, nommé aux Grammy Awards en 2012, complètent ce cycle d’enregistrements.
L’album « Cavalcade », sorti en 2015, fruit de sa rencontre avec le compositeur Mathias Duplessy, ouvre la voie à une série de collaborations avec des compositeurs de renom tels que Thierry Escaich, Karol Beffa et François Meïmoun, ainsi qu’avec de grands chambristes tels que François Salque, Pierre Fouchenneret, ou encore des artistes issus des musiques improvisées comme Prabhu Edouard.
Fort de cette dynamique, il fonde en 2019 le « Festival International Guitare en Alpes » en Savoie, dont Cecilia Rodrigo, fille du célèbre compositeur, est la marraine. Alliant musiques de chambre et créations, ce festival d’un genre nouveau a pour objectif de réunir les plus grands talents autour de la guitare classique et de développer le répertoire de cet instrument.
Son nouvel album, “Jérémy Jouve & Friends” (Totem), enregistré au château d’Hérouville, présente la création d’une dizaine d’oeuvres pour musique de chambre du compositeur Mathias Duplessy, pour lequel il s’est entouré de ses amis et formidables partenaires de la scène internationale.
Il se consacre actuellement à l’enregistrement de deux futurs albums à paraître.
Jérémy Jouve joue sur les cordes Savarez, Alliance rouges et Cantiga Premium bleues.
The family and guitar friends of Roland Dyens are happy to announce the creation on October 2018, of a non-profit association entitled
ROLAND DYENS IN THE SKAÏ
This association’s objective is to preserve the musical legacy of guitarist/composer/interpreter Roland Dyens, to collect all relevant documents, and to promote his musical oeuvre.
Preservation: A state-of-the-art digitization and preservation of the manuscripts of Roland Dyens’ compositions and arrangements, in order to avoid any form of deterioration, to assure their availability in good condition to future generations. A digital catalogue of this material will be produced.
Documentary Collection: Research will be undertaken to discover and secure all forms of documents (other manuscripts, letters, photos, videos, publications, press articles, etc.) concerning the artist’s musical career, oeuvre and life.
Development and Promotion: The publication and recording of compositions and arrangements by Roland Dyens, especially those which have not been published, in all media; the sale of products (discs, scores, publications), providing services for conferences, master-classes, etc., project management, and the organization of all kinds of events, including the creation of the “Prix Roland Dyens” – all in furtherance of the Association’s objectives.
Board of Directors:
Laura Dyens-Taar,Roland Dyens’ sister (President)
Jacques Misrahi (Vice-President), Roland’s agent for France
Françoise Pech (Treasurer), musician and choirmaster
Valérie Folco (Secretary), student of Roland Dyens and guitarist for the octet Octopus
Orestis Kalampalikis (Deputy Secretary), student of Roland Dyens at the Conservatoire Nationale Supérieure de Musique, Paris
Jean-Marc Zvellenreuther (Administrator), Assistant to Roland Dyens at the Conservatoire Nationale Supérieure de Musique, Paris
Jérémy Jouve (Administrator), student of Roland Dyens at the Conservatoire Nationale Supérieure de Musique, Paris
Larry Snitzler, (Administrator and adviser ), guitarist, former consultant to Radio France. He was a friend of Roland Dyens and the two of them loved to exchange puns,(jeux de mots), in English, French and Spanish !
Permanent Members: His mother, Nina, and his children: Emmanuel, Yael, Sydney and Daphné, represented until attaining the age of majority by her mother, Henriette.
To inaugurate this new association, we are organizing a concert in France which will take place on 19 October 2018, an especially symbolic date as it is Roland Dyens’ birthday.
ELENA PAPANDREAOU
We are pleased that guitarist ELENA PAPANDREOU will be coming from Thessalonica, Greece to offer a program of compositions and arrangements which Roland dedicated to her, such as Triaela,Lettre Encore, The Postman, etc.
For the first part of the program, we have invited Dmytro Holovenko and Martyna Ciesielska, recent graduates of the Krakow Academy of Music in Poland, and Cassie Martin who was the revelation of the Concours International Roland Dyens, organized by Guitare Classique magazine in 2017.
You can also donate to the Association to help us achieve our goals. Payment should be made to the order of the Association Roland Dyens in the Skaï. You will thus be a part of the Amis de l’Association Roland Dyens in the Skaï.
Thanks to the Larghetto de Vincennes magazine for helping to support our new Association.
English Translation by Larry Snitzler/Michael Seiler
En août 2018, Mathieu Braud était chef invité avec son Ensemble Dénote, du Festival Offenbach d’Etretat pour la reprise de « Dragonette » et la création de « La permission de 10h » du Grand Jacques Offenbach, dans une mise en scène d’Yves Coudray.
Photos des répétitions :
Ensemble Dénote
Héloïse Hilbert (cor), William Thomas (violoncelle), Abel-Loup Boye (basson) et Camille Tribouillard (clarinette) avec Nina Uhari (piano) Direction : Mathieu Braud Adaptation musicale : Philippe Hui.
LA PERMISSION DE DIX HEURES
Opéra-comique en un acte(durée 55mn) Livret de Mélesville et Carmouche, adapté par Charles Nuitter. Musique de Jacques Offenbach Représenté pour la première fois à Paris, au théâtre de la Renaissance, le 4.09.1873.
La permission de dix heurespermet à Offenbach de retrouver l’atmosphère du 18ème siècle qu’il aime tant. L’ouvrage, d’abord présenté à Ems en 1867, fût créé à Paris en 1873, le même soir que Pomme d’Api, et par les mêmes interprètes. Sur un livret à première vue banal mais plein de rebondissements et de situations cocasses, Offenbach a écrit une de ces musiques raffinées qui lui valurent Ie surnom de « petit Mozart des Champs Elysées ».
L’HISTOIRE :Le soldat Larose-Pompon est très épris de la jeune Nicole; … mais celle-ci ne pourra pas convoler tant que sa tante, la jolie et riche passementière Mme Jobin, veuve, ne sera pas elle-même remariée. Larose va donc tout faire pour favoriser l’union de Mme Jobin avec le sergent Lanternick, un brave militaire à I’accent alsacien très prononcé (« J’ai un tiaple d’accent cirgonflexe ! »), qui, de son côté, voudrait bien « faire une p’tit’ gonnaissance ». La maladresse du sergent, qui, en outre, préfèrera la nièce à la tante, provoque de multiples péripéties. L’irruption de la patrouille puis du garde-champêtre, et la nuit qui vient ajoutent encore au quiproquo – d’autant plus que seul un des deux militaires possède la fameuse « permission de dix heures ». Mais grâce à la malice de Larose-Pompon, tout se termine pour le mieux : Lanternick se mariera avec Mme Jobin, et il pourra épouser sa Nicole.
DISTRIBUTION
LES CHANTEURS :
Madame Jobin, veuve et marchande passementière : Mélanie Boisvert Nicole, sa nièce : Gianna Cañete Gallo Larose Pompon, soldat : Laurent Arcaro Lanternick, lieutenant alsacien : Yves Coudray Le père Broussaille, garde champêtre : Lionel Peintre Un Caporal : Pierre Méchanick
LES MUSICIENS :
Direction : Mathieu Braud Adaptation musicale : Philippe Hui. Héloïse Hilbert (cor), William Thomas (violoncelle), Abel-Loup Boye (basson) et Camille Tribouillard (clarinette) de l’Ensemble Dénote, et Nina Uhari (Chef de chant et piano)
LA MISE EN SCENE ET LES COSTUMES
Mise en scène et Scénographie : Yves Coudray (à droite) Costumes et décors : Michel Ronvaux (à gauche)
LA REGIE LUMIERE :
Bruno Régnier et Franck Rousseau
Photos : @Laura Dyens-Taar
LA BIOGRAPHIE DES ARTISTES
YVES COUDRAY, metteur en scène et chanteur ténor
Après des débuts d’enfant-comédien (Graine d’Ortie), il intègre le CNSM de Paris à 18 ans et entame dès-lors une carrière de chanteur. Des maisons d’opéras telles que Genève (Orphée aux enfers), Marseille (L’Aiglon), Bordeaux (La Périchole), Rouen (Die Zauberflöte), Metz (Les Brigands), Lausanne (Le Carnaval de Londres, Mireillle…), Nice (Serenade de Britten), l’Opéra-Comique (Les Aventures du roi Pausole, Die lustigen Weiber von Windsor…), et plusieurs festivals, dont Aix-en-Provence, Utrecht, Montpellier et Saint-Etienne, l’ont accueilli.
Parallèlement à son parcours d’interprète, Yves Coudray signe de nombreuses mises en scène en France – Opéras de Marseille (Manon Lescaut, Attila), Montpellier (M. Choufleuri), Nantes (Manon), Nice (Fidelio, Une petite flûte enchantée )… mais aussi à Barcelone, New-York, San Francisco et Boston. Il se consacre également à la formation scénique des jeunes chanteurs (Opéra de Paris, CNIPAL, HEM de Genève, Université de Pepperdine en Californie…).
Depuis 2010, il est le directeur artistique du Festival d’Offenbach d’Etretat
MATHIEU BRAUD – Chef d’Orchestre
Mathieu Braud se forme à la trompette, au tuba, à la contrebasse et au piano avant de s’intéresser à l’écriture musicale, notamment auprès de Claude Henry Joubert et François Saint Yves ainsi qu’à l’analyse auprès de Vincent Barthe et de François Boukobza.
Il se tourne ensuite vers la direction d’orchestre après avoir suivi les master class de Julien Guénebaut, Nicolas Brochot et de Claire Gibault. Il entame alors une formation au Conservatoire Royal de Bruxelles en classe de direction d’orchestre d’où il ressort diplômé en juin 2018.
Dès 2012, il crée avec Nicolas Vasseur, tous deux professeurs d’éducation musicale dans le secondaire, l’Orchestre OPPERA, Orchestre des Personnels des Parents et des ÉlèvesRéunis en Association, qui réunit amateurs ou professionnels, pour interpréter un répertoire ambitieux et exigeant, dans une démarche de partage et de proximité avec son public.
En 2016, il dirige l’ensemble londonien United Strings of Europe composé de musiciens issus de la Royal Academy de Londres.
Depuis plusieurs années, Il participe au Projet Demos à la Philharmonie de Paris et en Ile de France et dirige depuis 2017 l’Orchestre Universitaire de Lille.
En 2017 également, il crée son propre orchestre professionnel, l’ensemble Dénote avec une vingtaines de musiciens professionnels, avec l’objectif de jouer partout et pour tous, dans des salles de concerts mais aussi en entreprises, dans les lycées et les collèges que Mathieu connaît bien pour y avoir enseigné la musique, et dans tous lieux où la musique peut-être partagée avec un public curieux de découverte. Il souhaite aussi créer des ciné-concert et développer un axe d’enregistrement de musiques de films.
C’est en juillet 2018 qu’il transmet sa baguette de l’Orchestre Oppera pour s’investir dans ses nouveaux projets avec l’Ensemble Dénote.
» Il faut penser les spectacles autrement, pas avec des spectateurs endimanchés. Nous voulons toucher l’habitant qui n’a pas l’occasion d’aller dans des salles de concert. Il a le droit d’entendre du Mozart. Nous voulons créer la surprise dans tous les lieux qui ne sont pas dédiés aux concerts en y impliquant le public et en lui faisant vivre une expérience. Nous souhaitons transmettre la musique partout et pour tous,et des échanges avec le public après les concerts. »Le Montreuillois du 12/07/2018.
MÉLANIE BOISVERT – soprano
La soprano canadienne fait ses débuts dans le rôle d’Olympia à l’Opéra national du Rhin en 2002 et foule les planches de nombreuses maisons d’opéra de France et d’Europe dans un répertoire de haute-voltige.
Elle chante Clorinde (Cendrillon/N. Isouard) à l’opéra de Malte, Amour (Orphée et Eurydice) au Festival Les Antiques de Glanum. On l’a entendue dans La folie d’Offenbach sur France3, Adele (La chauve-souris) aux Folies d’Ô à Montpellier, Gabrielle (La vie parisienne) aux opéras de Saint-Etienne et de Strasbourg, Papagena aux Soirées Lyriques de Sanxay, Les Jeux de l’amour et d’Offenbach au Théâtre de Poche Montparnasse à Paris, Tytania (A Midsummer Night’s Dream) et Lakmé à Metz, Prothoe (Penthesilea/Dusapin) à la Monnaie de Bruxelles… Elle est aussi familière de la création contemporaine avec 200 Motels de Frank Zappa à la Philharmonie de Paris.
GIANNA CAÑETE GALLO – Soprano
Cette jeune soprano, belge et uruguayenne, est diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles, du Conservatoire Supérieur de Florence, de la Hochschule für Musik de Nürnberg et de l’European Vocal Departement de l’Institut de Musique et de Pédagogie.
Sa voix ronde et fraîche alliée à sa sensibilité raffinée l’amène à se produire en tant que chambriste mais aussi à l’Opéra Royal de Wallonie, au Théâtre Royal du Parc à Bruxelles, au Theatru Astra à Malte, au COOL Theater en Hollande et au Göggingen Parktheater en Allemagne, dans les rôles de Suor Genovieffa (Suor Angelica), Adèle (Die Fledermaus), Ännchen (Der Freischütz), Papagena et Pamina (Die Zauberflöte), Despina (Così fan tutte) et Barbarina (Le Nozze di Figaro).
Lors de masterclasses, elle a travaillé avec Laura Claycomb, Claudia Visca, Elizabeth Vidal, Nadine Denize, José Van Dam, Edith Wiens, Anna Tomowa-Sintow, Jennifer Larmore et Andreas Scholl. Elle fera prochainement ses débuts dans le rôle de Konstanze (Die Entführung aus dem Serail) et la Messe en ut de Mozart à Bruxelles.
NINA UHARI – Pianiste et Chef de chant
Elle effectue ses études de piano à l’Académie Sibelius de Helsinki, avant de se perfectionner à Baltimore puis à Paris – elle est premier prix de piano aux concours Hannikainen et Fazer en Finlande et remporte le prix Spedidam au concours du forum de Normandie en France. Elle devient chef de chant principal au CNIPAL à Marseille puis est engagée à la Haute École de Musique de Genève. Elle est également titulaire d’une classe de rôles à l’Ecole Normale de Musique de Paris. Nina Uhari s’est produite en récitals de piano ou de lieder, ou en concerts de musique de chambre, en Finlande et en France mais aussi en Allemagne, Autriche, Espagne, Colombie, au Togo et aux USA, et dans plusieurs festivals (MIDEM, Radio France, Aix en Provence, Montpellier, Chorégies d’Orange). Elle a été également invitée comme chef de chant dans plusieurs théâtres en France (dont le Châtelet) et à l’étranger.
LAURENT ARCARO – Baryton
Après des études de chant au CNSMDP (classe de Mireille Alcantara), il intègre les classes d’Ulrich Eisenlohr et de Rudolf Piernay à la Musikhochschule de Mannheim. Lauréat de plusieurs concours : Toulouse, St-Chamond, Clermont-Ferrand… il intègre le Studio-Oper de Mannheim Puis, il chante sous la direction de Michel Plasson à Toulouse, de J.-Y.Ossonce à Tours, et Roland Boer au Staatsoper Stuttgart, au Staatsoper Frankfurt am Main, et au Staatsoper Berlin.Partagé entre la France, l’Allemagne et les Etats-Unis, il tourne aussi dans quelques films et courts-métrages – dont Heart Zero, prix du meilleur court-métrage à Los Angeles -, et tente de promouvoir la musique française à travers les continents.
PIERRE MÉCHANICK – Baryton
Après ses études au CNSM, où il obtient en 1990 un Premier Prix d’Opérette, il se spécialise dans les rôles « bouffe » et “fantaisistes à voix” du répertoire lyrique. Parallèlement à sa carrière de chanteur, il crée la Troisième Ligne, trio comique. Auteur-interprète, il produit régulièrement son récital Le Chemin des Dames, spectacle autour des chansons de la Grande Guerre pour lequel il a reçu le label du Comité du Centenaire 14-18. Il travaille actuellement sur une nouvelle création qui verra le jour en novembre 2018, avec Gilles Bugeaud et de nombreux autres artistes chanteurs et musiciens.
LIONEL PEINTRE– Baryton
Il partage ses activités entre Opéra, Opérette, Récital et Musique Contemporaine. Interprète reconnu dans de nombreux théâtres : Opéra de Paris, Capitole de Toulouse, Opéra du Rhin, Genève, Berne, Tel Aviv, Anvers, Opéra de Lyon, Chorégies d’Orange, sous la direction de chefs tels que Michel Plasson, Myng Wung Chung, Jean-Yves Ossonce, Pascal Rophé. En 2015, il est Golaud (Pelléas et Mélisande) à Zagreb et le rôle-titre de Giordano Bruno, opéra de F. Filidei à Strasbourg, Paris, Milan. En 2017, il participe au KeinLicht, Thinkspielde P. Manoury à l’Opéra-Comique. En 2018, après Marouf de H.Rabaud à Bordeaux et Paris, il sera à la Philharmonie de Paris pour 200 Motels de F.Zappa.
MICHEL RONVAUX – Costumier, Scénographe
Une formation artistique commencée très jeune à l’Ecole d’Art et Dessin de Paris le conduit à l’Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg puis à l’ENSATT. Il entre ensuite à l’Opéra de Paris en 1975 comme décorateur-costumier. Il y dirigera l’atelier de décoration sur costumes de 1983 à 2015.
Une curiosité permanente l’amène à participer à des manifestations artistiques très diverses – téléfilms, clips publicitaires, spectacles de variété, opérettes…
Il collabore notamment avec Dominique Pitoiset et Stephen Taylor, Mireille Larroche, Jean Louis Martinelli et Yves Coudray et scénographie ainsi les costumes de nombreuses productions pour l’Opéra de Nice (Le nozze di Figaro), l’Opéra-Comique (La Bohème, V’lan, dans l’œil), le Théâtre des Champs Elysées (Les divertissements de Versailles), le théâtre Jean Vilar de Suresnes et également pour l’Atelier Lyrique de L’Opéra National et le CNSM de Paris.
LE BEST-OFF DE LA CREATION
Les répétitions musicales
CONTACT PRODUCTION :
Laura Dyens-Taar
La Locomotive des Arts Accompagnement d’Artistes et de projets artistiques
Martyna Ciesielska poursuit actuellement sa formation à l’Académie de musique de Cracovie en Pologne, dans la classe de Krzysztof Sadłowski.
Elle participe à différents concours, festivals et master-classes, et joue en concert en soliste et en orchestre de chambre.
Elle a activement participé à l’organisation de l’Hommage à Roland Dyens en décembre 2017 dans son Académie de musique, tout en y interprétant plusieurs des compositions et arrangements de ce Maestro.
English:
Martyna Ciesielska is a student of III year of Academy of Music in Krakow in a class of prof. Krzysztof Sadłowski. She partisipates in different competitions, festivals and courses, perfoming chamber music and solo compositions. In last year she took a part in the festival in memory of Roland Dyens « Hommage a Roland Dyens » with concerts in Krakow and Warsaw.
CASSIE MARTIN, guitariste Passionnée de guitare depuis son plus jeune âge, Cassie Martin, née en 2002, débute sa formation à l’âge de 5 ans avec Dominique Jacquet à Orléans. Elle entre au conservatoire d’Orléans en 2011 où elle poursuit durant 4 années son apprentissage auprès de Josiane Rabemananjara et reçoit les conseils d’Agnès Abiton. En octobre2015, à 13 ans, elle est admise au CRR de Paris en cycle spécialisé dans la classe de Gérard Abiton. Elle participe à différents ensembles de guitares durant les festivals «Voyage au Centre de la Guitare» et à de nombreux stages avec, entre autres, Jérémy Jouve, Judicaël Perroy qui contribuent à son épanouissement musical
En juin 2017, à 15 ans, elle obtient son D.E.M. à l’unanimité avec les félicitations du jury. Elle est aujourd’hui en deuxième année du cycle préparatoire à l’enseignement supérieur.
Cassie Martin est lauréate de plusieurs concours nationaux et internationaux : 1er prix au concours des Petites mains symphoniques à 9 ans ; 1er prix dans la catégorie 2C4 au concours Artistique d’Epinal en 2014 ; 2ème prix au Concours de Montigny en 2016 ; 2ème prix au concours international de la jeunesse à Vienne en Août 2016; 3ème prix dans la catégorie révélations au concours Drôme de Guitares en octobre 2016 (14 ans), 1er prix au concours international de Carry-le-Rouet dans la catégorie moins de 16 ans en mai 2017 ; Elle est sélectionnée pour la demi-finale du Concours International Maurizio Biasini en avril 2018 (15 ans).
En 2018, elle remporte, en tant que “révélation guitare classique”, le 1er Prix du Concours International Roland Dyens, puis le 1er prix de la catégorie Excellence au Concours International de Carry-le-Rouet et enfin, le 3e Prix au Concours International Alberto Ponce de Paris.
En mai 2018, elle a l’honneur de travailler avec Sergio Assad et de jouer le Concerto de Mario Castelnuovo-Tedesco sous la direction de Xavier Delette.
Son intérêt se porte aussi bien sur le répertoire de la musique ancienne que contemporaine. Elle aime avant tout la scène et partager sa passion pour la guitare avec le public.
La permission de dix heurespermet à Offenbach de retrouver l’atmosphère du 18ème siècle qu’il aime tant. L’ouvrage, d’abord présenté à Ems en 1867, fût créé à Paris en 1873, le même soir que Pomme d’Api, et par les mêmes interprètes. Sur un livret à première vue banal mais plein de rebondissements et de situations cocasses, Offenbach a écrit une de ces musiques raffinées qui lui valurent Ie surnom de « petit Mozart des Champs Elysées ».
L’HISTOIRE :Le soldat Larose-Pompon est très épris de la jeune Nicole
… mais celle-ci ne pourra pas convoler tant que sa tante, la jolie et riche passementière Mme Jobin, veuve, ne sera pas elle-même remariée.
Larose va donc tout faire pour favoriser l’union de Mme Jobin avec le sergent Lanternick, un brave militaire à I’accent alsacien très prononcé (« J’ai un tiaple d’accent cirgonflexe ! »), qui, de son côté, voudrait bien « faire une p’tit’ gonnaissance ».
La maladresse du sergent, qui, en outre, préfèrera la nièce à la tante, provoque de multiples péripéties.
L’irruption de la patrouille puis du garde-champêtre, et la nuit qui vient ajoutent encore au quiproquo – d’autant plus que seul un des deux militaires possède la fameuse « permission de dix heures ». Mais grâce à la malice de Larose-Pompon, tout se termine pour le mieux : Lanternick se mariera avec Mme Jobin, et il pourra épouser sa Nicole.
EXTRAIT VIDEOS (captation amateure avec un mauvais son….) DU SPECTACLE :
DISTRIBUTION
LES CHANTEURS : Madame Jobin, veuve et marchande passementière : Mélanie Boisvert Nicole, sa nièce : Gianna Cañete Gallo Larose Pompon, soldat : Laurent Arcaro Lanternick, lieutenant alsacien : Yves Coudray Le père Broussaille, garde champêtre : Lionel Peintre Un Caporal : Pierre Méchanick
LES MUSICIENS – Direction : Mathieu Braud – Adaptation musicale : Philippe Hui. Héloïse Hilbert (cor), William Thomas (flûte), Abel-Loup Boye (basson) et Camille Tribouillard (clarinette) de l’Ensemble Dénote, et Nina Uhari (Chef de chant et piano)
LA MISE EN SCENE ET LES COSTUMES Mise en scène et Scénographie : Yves Coudray (à droite) Costumes et décors : Michel Ronvaux (à gauche)
LA BIOGRAPHIE DES ARTISTES
YVES COUDRAY, metteur en scène et chanteur ténor
Après des débuts d’enfant-comédien (Graine d’Ortie), il intègre le CNSM de Paris à 18 ans et entame dès-lors une carrière de chanteur. Des maisons d’opéras telles que Genève (Orphée aux enfers), Marseille (L’Aiglon), Bordeaux (La Périchole), Rouen (Die Zauberflöte), Metz (Les Brigands), Lausanne (Le Carnaval de Londres, Mireillle…), Nice (Serenade de Britten), l’Opéra-Comique (Les Aventures du roi Pausole, Die lustigen Weiber von Windsor…), et plusieurs festivals, dont Aix-en-Provence, Utrecht, Montpellier et Saint-Etienne, l’ont accueilli.
Parallèlement à son parcours d’interprète, Yves Coudray signe de nombreuses mises en scène en France – Opéras de Marseille (Manon Lescaut, Attila, Monsieur Choufleuri, Pomme d’Api…), Montpellier (M. Choufleuri), Nantes (Manon), Nice (Fidelio, Une petite flûte enchantée )… mais aussi à Barcelone, New-York, San Francisco et Boston. Il se consacre également à la formation scénique des jeunes chanteurs (Opéra de Paris, CNIPAL, HEM de Genève, Université de Pepperdine en Californie…). En 2019/2020, il met en scène « Pomme d’Api » d’Offenbach et « Le singe d’une nuit d’été » à l’Opéra de Marseille, de Toulon, et d’avignon.
Depuis 2010, il est le directeur artistique du Festival d’Offenbach d’Etretat
MATHIEU BRAUD – Chef d’Orchestre
Mathieu Braud se forme à la trompette, au tuba, à la contrebasse et au piano avant de s’intéresser à l’écriture musicale, notamment auprès de Claude Henry Joubert et François Saint Yves ainsi qu’à l’analyse auprès de Vincent Barthe et de François Boukobza. Il se tourne ensuite vers la direction d’orchestre après avoir suivi les master class de Julien Guénebaut, Nicolas Brochot et de Claire Gibault. Il entame alors une formation au Conservatoire Royal de Bruxelles en classe de direction d’orchestre d’où il ressort diplômé en juin 2018.
De 2012 à 2018, il co-crée et dirige l’Orchestre OPPERA qui réunit amateurs ou professionnels, pour interpréter un répertoire ambitieux et exigeant, dans une démarche de partage et de proximité avec son public, tout en dirigeant L’OUL, l’Orchestre Universitaire de Lille de 2016 à 2019 et en participant au Projet Demos à la Philharmonie de Paris et en Ile de France
. Il créé en 2017 son propre orchestre professionnel, l’ENSEMBLE DÉNOTE composé d’une vingtaines de musiciens tous issus de grandes formations, avec l’objectif de jouer partout et pour tous, dans des salles de concerts mais aussi en entreprises, dans les établissements scolaires et dans tous lieux où la musique peut-être partagée avec un public curieux de découverte.
Aujourd’hui, Mathieu Braud multiplie les projets en tant que Chef invité (Direction de l’United Strings of Europe composé de musiciens issus de la Royal Academy de Londres, Direction à l’Institut du Monde Arabe du YAPO, Young Arab Philharmonique Orchestra (juin 2019), Direction de l’Orchestre et le Choeur du Palais de Arts de Tunis (novembre 2019), enregistrement de musiques de films, création de ciné-concerts…) parallèlement au développement de l’Ensemble Dénote.
MÉLANIE BOISVERT – soprano
La soprano canadienne fait ses débuts dans le rôle d’Olympia à l’Opéra national du Rhin en 2002 et foule les planches de nombreuses maisons d’opéra de France et d’Europe dans un répertoire de haute-voltige.
Elle chante Clorinde (Cendrillon/N. Isouard) à l’opéra de Malte, Amour (Orphée et Eurydice) au Festival Les Antiques de Glanum. On l’a entendue dans La folie d’Offenbach sur France3, Adele (La chauve-souris) aux Folies d’Ô à Montpellier, Gabrielle (La vie parisienne) aux opéras de Saint-Etienne et de Strasbourg, Papagena aux Soirées Lyriques de Sanxay, Les Jeux de l’amour et d’Offenbach au Théâtre de Poche Montparnasse à Paris, Tytania (A Midsummer Night’s Dream) et Lakmé à Metz, Prothoe (Penthesilea/Dusapin) à la Monnaie de Bruxelles… Elle est aussi familière de la création contemporaine avec 200 Motels de Frank Zappa à la Philharmonie de Paris.
GIANNA CAÑETE GALLO – Soprano
Cette jeune soprano, belge et uruguayenne, est diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles, du Conservatoire Supérieur de Florence, de la Hochschule für Musik de Nürnberg et de l’European Vocal Departement de l’Institut de Musique et de Pédagogie.
Sa voix ronde et fraîche alliée à sa sensibilité raffinée l’amène à se produire en tant que chambriste mais aussi à l’Opéra Royal de Wallonie, au Théâtre Royal du Parc à Bruxelles, au Theatru Astra à Malte, au COOL Theater en Hollande et au Göggingen Parktheater en Allemagne, dans les rôles de Suor Genovieffa (Suor Angelica), Adèle (Die Fledermaus), Ännchen (Der Freischütz), Papagena et Pamina (Die Zauberflöte), Despina (Così fan tutte) et Barbarina (Le Nozze di Figaro).
Lors de masterclasses, elle a travaillé avec Laura Claycomb, Claudia Visca, Elizabeth Vidal, Nadine Denize, José Van Dam, Edith Wiens, Anna Tomowa-Sintow, Jennifer Larmore et Andreas Scholl. Elle fera prochainement ses débuts dans le rôle de Konstanze (Die Entführung aus dem Serail) et la Messe en ut de Mozart à Bruxelles.
NINA UHARI – Pianiste et Chef de chant
Elle effectue ses études de piano à l’Académie Sibelius de Helsinki, avant de se perfectionner à Baltimore puis à Paris – elle est premier prix de piano aux concours Hannikainen et Fazer en Finlande et remporte le prix Spedidam au concours du forum de Normandie en France.
Elle devient chef de chant principal au CNIPAL à Marseille puis est engagée à la Haute École de Musique de Genève. Elle est également titulaire d’une classe de rôles à l’Ecole Normale de Musique de Paris.
Nina Uhari s’est produite en récitals de piano ou de lieder, ou en concerts de musique de chambre, en Finlande et en France mais aussi en Allemagne, Autriche, Espagne, Colombie, au Togo et aux USA, et dans plusieurs festivals (MIDEM, Radio France, Aix en Provence, Montpellier, Chorégies d’Orange). Elle a été également invitée comme chef de chant dans plusieurs théâtres en France (dont le Châtelet) et à l’étranger.
Elle est chef de chant du Festival Offenbach d’Etretat depuis plusieurs années.
LAURENT ARCARO – Baryton
Après des études de chant au CNSMDP (classe de Mireille Alcantara), il intègre les classes d’Ulrich Eisenlohr et de Rudolf Piernay à la Musikhochschule de Mannheim. Lauréat de plusieurs concours : Toulouse, St-Chamond, Clermont-Ferrand… il intègre le Studio-Oper de Mannheim.
Puis, il chante sous la direction de Michel Plasson à Toulouse, de J.-Y.Ossonce à Tours, et Roland Boer au Staatsoper Stuttgart, au Staatsoper Frankfurt am Main, et au Staatsoper Berlin.Partagé entre la France, l’Allemagne et les Etats-Unis, il tourne aussi dans quelques films et courts-métrages – dont Heart Zero, prix du meilleur court-métrage à Los Angeles -, et tente de promouvoir la musique française à travers les continents.
PIERRE MÉCHANICK – Baryton
Après ses études au CNSM, où il obtient en 1990 un Premier Prix d’Opérette, il se spécialise dans les rôles « bouffe » et “fantaisistes à voix” du répertoire lyrique.
Parallèlement à sa carrière de chanteur, il crée la Troisième Ligne, trio comique.
Auteur-interprète, il produit régulièrement son récital Le Chemin des Dames, spectacle autour des chansons de la Grande Guerre pour lequel il a reçu le label du Comité du Centenaire 14-18.
Il créé régulièrement des spectacles musicaux avec sa structure « Quand on est trois » avec Gilles Bugeaud, dont sa dernière création « Azor » qui remporta récemment un grand succès au Théâtre de l’Athénée à Paris.
Pierre Méchanick est régulièrement invité au Festival Offenbach d’Etretat dans la troupe d’Yves Coudray dans des rôles comiques où il excelle.
LIONEL PEINTRE– Baryton
Il partage ses activités entre Opéra, Opérette, Récital et Musique Contemporaine. Interprète reconnu dans de nombreux théâtres : Opéra de Paris, Capitole de Toulouse, Opéra du Rhin, Genève, Berne, Tel Aviv, Anvers, Opéra de Lyon, Chorégies d’Orange, sous la direction de chefs tels que Michel Plasson, Myng Wung Chung, Jean-Yves Ossonce, Pascal Rophé.
En 2015, il est Golaud (Pelléas et Mélisande) à Zagreb et le rôle-titre de Giordano Bruno, opéra de F. Filidei à Strasbourg, Paris, Milan. En 2017, il participe au KeinLicht, Thinkspielde P. Manoury à l’Opéra-Comique. En 2018, après Marouf de H.Rabaud à Bordeaux et Paris, il sera à la Philharmonie de Paris pour 200 Motels de F.Zappa.
Récemment, Lionel Peintre jouait un rôle titre à l’Opéra comique dans Madame Favart.
Lionel Peintre est régulièrement invité au Festival Offenbach d’Etretat dans la troupe d’Yves Coudray dans des rôles « sérieux » !
MICHEL RONVAUX – Costumier, Scénographe
Une formation artistique commencée très jeune à l’Ecole d’Art et Dessin de Paris le conduit à l’Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg puis à l’ENSATT. Il entre ensuite à l’Opéra de Paris en 1975 comme décorateur-costumier. Il y dirigera l’atelier de décoration sur costumes de 1983 à 2015.
Une curiosité permanente l’amène à participer à des manifestations artistiques très diverses – téléfilms, clips publicitaires, spectacles de variété, opérettes…
Il collabore notamment avec Dominique Pitoiset et Stephen Taylor, Mireille Larroche, Jean Louis Martinelli et Yves Coudray et scénographie ainsi les costumes de nombreuses productions pour l’Opéra de Nice (Le nozze di Figaro), l’Opéra-Comique (La Bohème, V’lan, dans l’œil), le Théâtre des Champs Elysées (Les divertissements de Versailles), le théâtre Jean Vilar de Suresnes et également pour l’Atelier Lyrique de L’Opéra National et le CNSM de Paris.
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